Bonjour Simone,<br />
<br />
Oui, avoir des racines surtout bien ancrées dans le sol, comme cela on ne vacille pas sous l'effet du vent ou des tempêtes...<br />
<br />
Avoir des principes tout en étant ouvert au changement et à l'évolution des traditions...ne pas rester figé dans le passé...
Salut<br />
<br />
Il fait beau alors on va repeindre le mur extérieur.<br />
<br />
On a au moins trois jours de boulot, c'est dur dur pour des retraités.<br />
<br />
C'est la fête des Pères demain alors vous pouvez voter pour moi à cette adresse :<br />
<br />
http://www.nadidom.be/pages/topsite/vote.php?id=107<br />
<br />
BON WEEK-END
Bonjour ma chère Simone,<br />
<br />
<br />
<br />
Faut-il avoir des principes ?<br />
Voilà une expression populaire... beaucoup moins '' simple '' qu’il n’y paraît.<br />
De quels genres de principe parlons-nous ?<br />
Et qu’entend-on au juste par '' principe ' '? <br />
<br />
La question principale devient : <br />
- Est-ce que mes actes ressemblent à mes paroles. <br />
- Est-ce que ma vie est conforme à mes principes.<br />
- Est-ce que j'organise mon existence, selon des maximes que je me donne ?<br />
<br />
Dans le domaine de la morale, la préoccupation des grandes pensées philosophiques est de définir un principe universel... pour l’ensemble de nos conduites.<br />
Mais l’on sait aussi les nombreuses difficultés rencontrées, quand il est question d’appliquer de tels principes généraux... à une situation.<br />
<br />
Nous connaissons tous ces expressions :<br />
'' c’est une personne de principe, ou qui a des principes ''. <br />
<br />
Nous pouvons tenir à certains de ceux-ci, pour se donner bonne conscience.<br />
La référence à des '' principes '' est formée par des règles de vie quotidiennes... qui sont liées aux mœurs, à la culture ambiante et aux conventions sociales.<br />
Nos petites habitudes ou fantaisies personnelles doivent être prises en compte.<br />
<br />
La question posée n’est pas de savoir quels sont ces principes, mais si nous devons en avoir.<br />
<br />
Le principe se réfère à une règle ou une norme pratique, clairement représentées à l’esprit.<br />
Il doit guider son action ou sa pensée. <br />
En ce sens, les principes entretiennent des relations de proximité avec les valeurs. <br />
Quels que soient la nature ou la source de celles-ci, elles sont solidaires de jugement et de justice. <br />
<br />
Les principes engagent donc davantage dans l’action que les valeurs.<br />
Les principes d’action et de pensée peuvent tracer la conduite de sa vie.<br />
Ils sont d'ordres moraux, mais aussi plus largement éthiques.<br />
<br />
Non seulement ce que l’on doit faire au nom d’impératifs moraux, mais également ce qui est souhaitable pour une '' vie convenable ''.<br />
Entre la morale et l’éthique, l'une se caractérise par un effet de contrainte, alors que le terme d’éthique concerne une vie accomplie sous le signe des actions estimées bonnes.<br />
Certains principes sont naturellement positifs, et les introduire dans notre vie peut nous aider à atteindre une vie meilleure. <br />
Il faut vivre selon nos modèles et nos valeurs.<br />
<br />
Soyons maître de nous-même. <br />
Soyons positif. <br />
Fréquentons des personnes qui nous inspirent. <br />
Donnons plus que ce que l’on attend de nous... et sans rien attendre en retour. <br />
Gardons une attitude positive, en restant à l’initiative. <br />
Tirons profit de nos échecs.<br />
Nous savons tous qu’il vaut mieux se maîtriser, être positif, fréquenter ou croire en nous... plutôt que de ne pas se contrôler, être négatif, et fréquenter des gens qu’on a pas envie de voir.<br />
<br />
La pleine maîtrise n’existe pas.<br />
Mais cela ne doit pas nous conduire à l’abandon de tout pouvoir sur notre propre vie, ou sur nos vies collectives. <br />
Les morales consistent souvent en une liste de devoirs et d’interdits, normes qui doivent être considérées comme un point de départ.<br />
La morale a précisément pour objet d’élaborer des principes.<br />
Il s’agit d’identifier ce qu’est une action, bonne ou mauvaise. <br />
<br />
La notion de principe est présente dans les principales théories : <br />
- principe subjectif de mon action. <br />
- Principe du plus grand bien fondé sur la morale.<br />
<br />
Ce n’est pas l’appréciation de son impact qui peut décider de sa valeur, mais la pureté ou la moralité de ses intentions.<br />
Rigoureusement indépendante de la question du bonheur ou du bien, une telle morale ne se préoccupe que de savoir si l’action est juste ou injuste. <br />
<br />
Elle considère pour cela des devoirs et des interdictions.<br />
<br />
Le fondement consiste dans l’obligation dans laquelle l’individu... s’engage devant lui-même comme un être raisonnable et libre. <br />
<br />
Une loi morale est une loi qui s’applique à tous.<br />
<br />
Nous pouvons avoir reçu en héritage des principes de vie<br />
<br />
Cette façon d’accorder de manière harmonieuse les actes et les paroles, est la base même d'accéder à la morale.<br />
<br />
<br />
Bonne journée, mon amie.<br />
Gros bisous. dédé.
Bonjour ma chère Simone,<br />
<br />
<br />
<br />
Chaque fois que l'arbre change de feuilles, il prend normalement une année de plus sur son dos.<br />
Je préfère donc ne pas accélérer ce processus, afin de ne pas vieillir trop vite.<br />
Surtout lorsque nous prenons de l'âge, et que nous savons que chaque jours sont précieux.<br />
<br />
Les arbres dressent fièrement leur feuillage, en étant ben enracinés en terre.<br />
Logiquement, ils impressionnent par la puissance qu'ils dégagent, lorsqu'ils sont centenaires.<br />
Leur tronc dont la circonférence est importante, semble pouvoir les rendre invincibles.<br />
<br />
Pourtant il suffit qu'un orage éclate... pour que ce puissant arbre se retrouve déraciné.<br />
Couché sur le côté, il gît comme un militaire qui va perdre sa vie.<br />
<br />
Le géant a été foudroyé par un simple éclair.<br />
<br />
A proximité se dresse un petit roseau... qui danse sous la force du vent.<br />
Il semble fragile à coté des colosses qui l'entourent.<br />
Pourtant il semble plus adapté, à la puissance d’Éole.<br />
<br />
Même lorsque sa cime flirte avec la terre, tellement il est courbé.<br />
Cependant il ne rompt pas.<br />
<br />
Certains arbres millénaires, sont déracinés lors d'une tempête.<br />
Et lorsque ceux-ci meurent, les racines n'ont pas réussi à le tenir debout.<br />
<br />
<br />
Ces colosses au pied d'argile, sont tout compte fait plus délicats qu'ils ne semblaient être.<br />
<br />
<br />
Chez les hommes, le déracinement prend une autre façon de s'exprimer.<br />
C'est une manière de se retrouver éloigné de ses origines.<br />
<br />
C'est une perte de repères.<br />
Une destruction du sentiment d’appartenance.<br />
Une déstabilisation identitaire, remise en question profonde de soi.<br />
<br />
La solitude en est l'illustration la plus crédible.<br />
<br />
Ce déracinement est toujours une source de frustrations sociales et intellectuelles.<br />
Des angoisses s'ajoutent face à l’avenir. <br />
<br />
Le déracinement, n’est pas une transition anodine dans une vie.<br />
<br />
Partir en laissant toute sa famille parfois pour ne jamais revenir... est un choix souvent délicat.<br />
<br />
Il faut pouvoir effacer son mode de vie, pour se fondre dans celui du nouveau lieu de vie.<br />
<br />
Logiquement, l'étranger doit se plier aux règles du pays d'accueil, sinon il vaut mieux qu'il reste chez lui.<br />
<br />
Les déracinés économiques changent de pays, pour se rendre dans des régions plus riches.<br />
Chez eux, ils ne trouvent pas de travail pour survivre.<br />
<br />
Alors la grande migration a lieu. <br />
<br />
Arrivé en Occident, le déraciné se retrouve souvent dans une situation précaire.<br />
Malgré tout, il est pris en charge en cas d'une insuffisance alimentaire.<br />
<br />
Parfois au bout d'un certain temps, l'étranger parvient à avoir la nationalité du pays qui le reçoit.<br />
Il a donc les même droits que tous les habitants de cette nation.<br />
<br />
Ces derniers temps, nous nous rendons compte que les français d'origine maghrébine, exportent leur manière de vie chez nous.<br />
<br />
C'est à dire qu'ils refusent les règles du pays qui les a reçu.<br />
Ce qui déstabilise la société.<br />
<br />
Il est tout de même normal lorsque l'on épouse la nationalité française...d'en prendre aussi les devoirs.<br />
Malheureusement, ce n'est plus le cas.<br />
<br />
Parfois il est même affligeant de constater que ces gens qui demandaient asile avec un effacement total, crient aujourd'hui leur haine sur ce pays d'accueil.<br />
<br />
Ce n'est tout de même pas à ceux qui reçoivent les gens dans la misère...de se plier aux traditions de ces derniers.<br />
<br />
Le seul moyen de défense qu'ils sorte chaque fois qu'il y a des tensions...c'est de nous traiter de racistes.<br />
<br />
Il est facile de se protéger ainsi, alors qu'ils crachent sur la laïcité.<br />
Parfois même sur l'étendard de notre pays.<br />
<br />
Ce qui pour moi demeure un outrage impardonnable.<br />
<br />
<br />
J'avais regardé un documentaire sur les comparutions immédiates au tribunal.<br />
<br />
Il est choquant tout de même d'entendre des gens venus d'ailleurs...dire que de frapper sa femme fait partie de la tradition de son pays.<br />
<br />
La juge avait recadré l'individu en lui demandant;<br />
- '' Vous vivez où actuellement...? ''.<br />
Ce turc violent avait répondu :<br />
- '' en France ''.<br />
<br />
La magistrate avait alors répliqué:<br />
- '' donc vous devez suivre les lois de la république française...qui interdit toutes agressions sur sa femme.<br />
Pour que vous compreniez que vous devez vous plier à cette loi, vous ferez un mois de prison sec. ''.<br />
<br />
J'avais applaudit par la détermination de cette femme de loi.<br />
<br />
Il est inadmissible de remettre le colonialisme comme sujet du jour, pour manifester dans la rue.<br />
Ces déracinés n'ont malheureusement aucun respects.<br />
Ils se sentent rejetés....alors que ce sont eux qui s'isolent.<br />
<br />
Il ne faut surtout plus parler d'intégration, après trois ou quatre générations de gens qui possèdent la double nationalités<br />
<br />
De plus, ces gens qui crachent dans la soupe, font grimper les parties politiques extrémises.<br />
<br />
<br />
Être déraciné ne signifie pas semer la zizanie ailleurs... que dans son pays.<br />
<br />
<br />
Bonne journée, mon amie.<br />
Gros bisous. dédé.
Bonjour ma chère Simone,<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Il y a des personnes qui sont complètement déracinées.<br />
C'est un peu mon cas en étant dans une région où je ne connais personne, à part mon voisinage.<br />
<br />
Le mal du déracinement est une souffrance tabou.<br />
<br />
J’avais bien pressenti que cette souffrance était partagée par beaucoup d’entre nous.<br />
Mais je ne pensais pas toucher à ce point à l’intime, au personnel, à l’âme.<br />
<br />
On ne veut pas se plaindre. On refuse de se montrer faible face au système, en considérant qu’avoir été expatrié est un privilège, une chance.<br />
On a du mal à se sentir en confiance, après tant de jugements hâtifs et de maladresses subis depuis ce retour. <br />
<br />
Touchants, poignants, souvent pudiques, ces appels au secours très dignes révèlent entre leurs lignes les grandes souffrances vécues par les familles, les parents, les enfants, les ados.<br />
<br />
Ils me touchent chaque fois d’autant plus qu’ils font écho à ma propre expérience, celle d’une souffrance répétée face à l’incapacité d’appartenir à mon entourage, à ma propre société, vécue à chacun de mes retours de l’étranger.<br />
<br />
Perte de repères, destruction du sentiment d’appartenance, déstabilisation identitaire, remise en question profonde de soi, solitude, angoisses face à l’avenir.<br />
Non, décidément, le retour d’expatriation n’est pas une transition anodine dans une vie.<br />
<br />
Surtout pour les plus jeunes et les plus vulnérables sur le plan de l'ancrage affectif.<br />
Son caractère tabou, secondaire, comme s’il s’agissait d’un problème marginal de notre monde, rend la souffrance des déracinés encore plus silencieuse, profonde, durable.<br />
Norme sédentaire oblige.<br />
<br />
Le déracinement est une violence psychologique réelle<br />
Depuis des siècles, le déplacement des populations forcé a causé la perte de cultures et de sociétés entières. <br />
Si s’expatrier et revenir de son propre chef n’est pas comparable à un exil forcé ou à une expulsion territoriale... en terme d’échelle et de conséquences, les plus vulnérables encaissent de plein fouet la violence du choc.<br />
<br />
Surtout les enfants '' suiveurs '' pour qui le retour a tout d’un exil forcé, à leur niveau.<br />
<br />
Inexpliquée, incomprise, cette violence se retourne contre ce que chacun a de plus précieux et de plus intime. <br />
Silencieuse et invisible pour les autres, elle détruit imperceptiblement l’estime de soi, la confiance en soi, la confiance en l’autre, les racines de l’appartenance.<br />
<br />
Elle coupe le lien de chacun avec l’univers et crée une angoisse existentielle profonde.<br />
Notamment chez les plus jeunes en pleine construction identitaire.<br />
<br />
Elle remet en cause la véracité de son existence, comme si l’on pouvait désormais disparaître à chaque seconde. <br />
<br />
Comme si l’ensemble du décor autour de soi n’était qu’une illusion. <br />
On se retrouve effrayés par les autres à qui on ne peut plus faire confiance.<br />
<br />
On ne la comprend pas, on ne l’explique pas, on est démuni face à cette violence. <br />
On ne s’y était pas préparé, et les ressources pour y faire face sont encore rares.<br />
<br />
La plupart des psys passent à côté du problème. <br />
Seuls les praticiens ayant connu des conditions de travail humanitaires ... parviennent à capter les signaux de ce mal si particulier.<br />
<br />
La souffrance est réelle, elle n’a rien d’un caprice ou d’un coup de mou. <br />
Elle ne se guérit pas avec des médicaments, des pansements temporaires comme un voyage touristique de courte durée, ou un nouveau jouet.<br />
<br />
C’est le sentiment d’appartenance qu’il faut soigner.<br />
<br />
Et pour cela, il faut reconstruire l’ensemble des liens tissés entre un individu et son monde. <br />
<br />
Cela prend du temps, et un travail attentif, durable et régulier sur soi.<br />
<br />
Je pense qu'après mon retour de la marine, j'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans le circuit civil.<br />
<br />
Tous mes amis avaient disparu de la ville.<br />
<br />
Je suis donc parti ailleurs, pour recommencer une autre vie.<br />
Me refaire des racines.<br />
J'y suis parvenu, avant de repartir à nouveau en fermant la porte de mon passé.<br />
<br />
Dans la région lyonnaise, je n'ai pas réussi à trouver un moyen de m'adapter au changement.<br />
<br />
Je n'avais plus d'amis.<br />
<br />
Malgré des années passées dans une ville, je me suis toujours senti étranger.<br />
<br />
A Mâcon, si je n'ai pas pu y prendre réellement mes marques, c'est par ma faute en me repliant sur moi-même.<br />
<br />
Après tout, à quoi sert de rechercher des affinités, lorsque l'on a pris de l'âge.<br />
<br />
De plus, il ne me semble pas souffrir atrocement de mon déracinement permanent.<br />
<br />
C'est peut être pour cette raison que le bricole.<br />
En quelque sorte, celui-ci représente une fuite.<br />
<br />
Je crains parfois le moment où je ne pourrai plus travailler.<br />
<br />
Heureusement, il me restera la peinture...pour pouvoir m'échapper du monde réel.<br />
<br />
<br />
Bonne journée, mon amie.<br />
Gros bisous. dédé.
Bonjour ma chère Simone,<br />
<br />
<br />
<br />
Il est nécessaire de se considérer comme un arbre puissant...pour pouvoir affronter tous les dangers de la vie.<br />
<br />
Conserver des racines profondes, permet de mieux tenir face à l'adversité.<br />
De plus, l'arbre sera d'autant plus résistant aux déracinement, en face des tempêtes.<br />
Car la vie est une succession de calmes et d'orages.<br />
<br />
En même temps, un chêne très résistant et parfaitement bien enraciné, peut rompre lorsque la foudre l'atteint.<br />
<br />
Ce qui signifie que quelque soit sa force physique, la vie demeure toujours très fragile.<br />
<br />
C'est donc une raison supplémentaire, pour ne pas l'exposer à tous les dangers. <br />
Ces derniers rôdent sans cesse.<br />
Un peu comme s'il fallait alimenter en permanence l’Achéron.<br />
Ce fleuve maudit de la mort.<br />
<br />
A présent en plus de tous les risques quotidiens, un virus vient augmenter tous les dangers sanitaires.<br />
<br />
Il faut donc rester attentif, à faire les gestes barrières.<br />
<br />
Il y aura peut être l'arrivée d'un vaccin...pour l'automne prochain.<br />
Reste à savoir s'il sera vraiment efficace.<br />
Car tous les experts doutent, étant donné que le temps pour en développer un est bien plus long.<br />
<br />
Mais des espoirs surviennent dans cette ambiance morose.<br />
<br />
<br />
Pour ressembler à un feuillu bien garnit en feuille, il faut pouvoir ce comparer à lui, en étant chevelu.<br />
<br />
En ce qui me concerne, je suis plutôt un arbre qui est déjà touché par un automne bien avancé.<br />
C'est à dire qu'il n'y a plus beaucoup de cheveux à la cime de l'être.<br />
<br />
L'arbre n'est pas mort, mais il a perdu ses feuilles irrémédiablement.<br />
Il ne retrouva plus sa belle parure... dès que les belles saisons arrivèrent.<br />
<br />
Il faudra donc faire avec un peu moins de feuilles chaque année.<br />
Quoique maintenant, il est difficile d'en perdre davantage.<br />
Ce ne sera pas visible...entre deux années.<br />
<br />
Perdre ses cheveux ne veux pas dire que ses idées s'échappent avec eux.<br />
<br />
Elles sont inscrites dans le cerveau d'une manière à peu près sûre.<br />
Cependant avec le temps qui passe, celles-ci peuvent varier avec l'âge.<br />
<br />
Ce que les pensées trouvaient injustes en étant plus jeune...peuvent avoir complètement retournées leur veste.<br />
C'est à dire qu'elles épousent un avis contraire.<br />
<br />
La sagesse de l'âge fait percevoir différemment les problèmes.<br />
<br />
Si bien que le révolutionnaire d'avant, et devenu un mouton.<br />
Parfois cette vue de l'esprit est fondée sur une réflexion plus approfondie.<br />
<br />
En prenant des ans, les individus estiment différemment les choses.<br />
Ce qui était noir dans les jeunes années, est devenu plus blanc.<br />
<br />
Il y a une sorte d'acceptation à la situation humaine.<br />
Il y a aussi plus de prudence, avant de se lancer dans un combat plus ou moins justifié.<br />
<br />
L'élan n'est pas le même, même si la pensée juge la situation injuste.<br />
<br />
L'homme âgé ne considère plus de la même manière, les révoltes du passé.<br />
Soit parce que celui-ci fut satisfait de sa vie.<br />
Ou tout simplement par dépit.<br />
<br />
Il est plus modéré en ne s'enflammant pas comme lorsqu'il avait vingt ans.<br />
Le temps amoindri l'énergie qui l'habitait.<br />
<br />
Pourtant les principes sont restés ancrés...comme s'ils étaient inaltérables.<br />
La personne conserve ceux-ci pour respecter sa personnalité.<br />
<br />
Renier ses principes fondamentaux...demeure un peu comme perdre son âme.<br />
<br />
Il est donc nécessaire de garder cette conduite basée sur le bien et le mal.<br />
<br />
C'est un peu une route que ce dernier à tracer, en faisant son possible de ne jamais en sortir.<br />
Avoir des principes est honorable, tant que ceux-ci sont respectables.<br />
<br />
L'honnêteté fait partie de ceux-ci.<br />
La générosité aussi.<br />
<br />
Ceux qui ne possèdent pas ces bases essentielles pactisent avec le diable.<br />
Il rejoint alors les voyous, ou les gens qui ne sont pas fréquentables.<br />
<br />
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<br />
Bonne journée, mon amie.<br />
Grosses bises. dédé.
je change de eprincipe en permanence car la vie a été trop dure pour moi, cela m'a oblige à changer mes ides et donc... mes principes! Par contre, je trouve que les chats sont toujours de toute beauté sur ton blog! Bonne journée, Gisèle