11 novembre 2014
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Une nuit vient de mourir
Dans les flammes de l'aurore,
Au loin l'horizon s'étire
Sous une tunique d'or,
Une perle de rosée
Toute étincelante et pure
Et le fil d'une araignée
Qui scintille dans l'azur
Voudraient à travers tes yeux
Parler à ton pauvre coeur
Et t'adresser de leur mieux
Leur message de douceur.
Dans les flammes de l'aurore,
Au loin l'horizon s'étire
Sous une tunique d'or,
Une perle de rosée
Toute étincelante et pure
Et le fil d'une araignée
Qui scintille dans l'azur
Voudraient à travers tes yeux
Parler à ton pauvre coeur
Et t'adresser de leur mieux
Leur message de douceur.
Quand parfois tu te promènes
Sous une douce forêt,
Chacun de tes pas t'entraîne
Vers un monde plus secret ?
Rien qu'une brise naissante
Et le feuillage frémit
Et de la mousse luisante
L'oiseau remonte à son nid
Sa chanson pour ton oreille :
Son plumage pour tes yeux,
Quelle féerie sans pareille,
Quel spectacle merveilleux !
Parfois tu montes très haut
Bien au-delà des alpages,
Alors tu dis que c'est beau,
Cet océan de nuages !
Si tu surprends le chamois
La silhouette élancée,
Tu admires dans ses pas
La plus sublime beauté.
Et lors qu'enfin le soleil
Vient s'éteindre à l'horizon
La splendeur de ces merveilles
Donne à ton coeur une raison.
Bien au-delà des alpages,
Alors tu dis que c'est beau,
Cet océan de nuages !
Si tu surprends le chamois
La silhouette élancée,
Tu admires dans ses pas
La plus sublime beauté.
Et lors qu'enfin le soleil
Vient s'éteindre à l'horizon
La splendeur de ces merveilles
Donne à ton coeur une raison.
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