13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 08:06



 
 
  ˙sıpɐɹɐd np sɹǝıʇuǝs sǝl ɹns
 ɯou uos ǝp ǝɹıolƃ ɐl ɹǝʇuɐɥɔ ɹnod
 ɹnǝuƃıǝs ǝl ɹɐd ǝısıoɥɔ sǝ nʇ
 'ɹnœs ǝʇıʇǝd ɐɯ 'snʇɔɐɔ ǝp ɹnǝlɟ
 ǝıʌ ɐʇ ǝp sɹnoɾ sǝp ƃuol nɐ ʇnoʇ
 uosıɐɯ ɐs uǝ ɹıɹnǝlɟ ɹnod
 ɹnǝuƃıǝs ǝl ɹɐd ǝısıoɥɔ sǝ nʇ
 'ɹnœs ǝʇıʇǝd ɐɯ 'snʇɔɐɔ ǝp ɹnǝlɟ


1964


Fleur de Cactus,

Fleur de Cactus, ma petite sœur,  Tu es choisie par le Seigneur  Pour fleurir en Sa maison Tout au long des jours de ta vie  Fleur de Cactus, ma petite sœur,  Tu es choisie par le Seigneur  Pour chanter la gloire de son nom
Sur les sentiers du Paradis.  Soeur Sourire











c'est en Français....
.par ici la réponse
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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 17:20



 


 
Vous connaissez tous Françoise....
elle n'a pas de blog mais nous rend visite tous les jours...
Elle est Mamie  depuis le 12 mai 2009, un garçon Matis  !


Le prénom Matis a pour origine le prénom hébraïque Mattatyahu.
      Matis est une variante du prénom Mathias.
 La forme ancienne Mattatyahu peut être traduite par "don de Dieu".
    Les Matis sont honorés le 21 septembre.

                                       

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 17:44

 



  Je suis moi avec mes rêves mes dentelles
Je suis moi femme mère et quelque fois gamine
Je suis moi avec mes rêves plein la tête,
Rêves espiègles et romantiques
Rêves de franfreluches, de lit à baldaquin,
Rêves un peu fous, un peu naïfs,
Rêves de voyage et d'amour,
Rêves de beauté et rêves fleuris
Rêves de monde meilleur
Je suis moi avec toutes mes rondeurs bien féminines
Et tous mes artifices pour me rendre plus belle
Je suis moi avec mes rêves mes dentelles
Avec mes qualités et mes défauts
Je suis moi quelques fois révoltée et agressive
Parce que la vie ne m'a pas toujours gâtée
Je suis moi avec mes rêves mes dentelles
Rêves féeriques et rêves magiques
Alors acceptez moi comme je suis
Et je vous ferai partager tous mes rêves
Et toutes mes dentelles.
           Extrait de "Arc en Ciel" de Danielle Daller


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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 16:19



 


On ne saurait si bien dire : les beaux jours aussi peuvent gravement nuire à la santé.


Même pas besoin, pour se polluer la vie, de faire partie du cercle des fumeurs compulsifs. Pour jouer avec le feu, il suffit d'un coin de jardin ou d'un balcon. D'un bout de ciel bleu. Et de ce bête accessoire : un barbecue.

Quoi, le charbon de bois pour ennemi intime ? Ben oui, se consumer pour un beefsteak grillé contribuerait à racornir notre espérance de vie.


Voilà grand dommage : on n'enfume pas ses voisins sans se mettre soi-même en péril. Ce ne sont pas des pompiers, qui l'affirment. Mais des experts portant tablier blanc. Pas des cuistots : des chercheurs, habitués sans doute à d'autres cuisines statistiques.

 


Feu le barbecue ?

Pas n'importe quels savants, de fait.

Des précautionneux, tant la consommation de spécialités à griller est pratiquée dans leur joli et odoriférant pays : nos voisins allemands.


L'estomac tout retourné, les champions de la Grillwurst sont parvenus à la constatation que plus on fréquente son barbecue, plus les risques de cancer digestif sont élevés.

On se doutait bien un peu que la salade verte et l'émincé de concombre au yaourt étaient plus bénéfique à nos boyaux que le gras de charcuterie carbonisé à la grosse braise. Un grand centre de recherche de Heidelberg confirme, après avoir suivi à la fourchette plus de 4 000 volontaires.

Noir verdict : les atteintes à l'intestin augmentent avec l'amour que l'on porte à la chipolata roussie de partout et à la côte de porc cramée sur les bords.


De part et d'autre du Rhin, la nouvelle sera accueillie avec la froideur que l'on imagine du côté des buvettes, étangs de pêche et club-house de foot.

Maintenant que le barbecue est déclaré nuisible à la santé, après avoir déjà été classé attentatoire à la qualité de l'air, que va-t-on bien pouvoir encore nous mijoter ? La merguez à bout-filtre ? Le grill à échappement catalysé ? L'entrecôte avec vignette de la Sécurité sociale ?


A ce compte-là, vivement que revienne l'hiver.


Didier Rose 

        Je pense donc

          je lis les DNA

 



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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 17:05














Il en est de la pointe de l'esprit comme d'un crayon,
il faut recommencer à le tailler sans cesse.








 Charles-Augustin Sainte-Beuve











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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 18:51


 




  L'Amitié c'est une écoute,
quand le coeur est en déroute
Qui jamais ne se permet
de juger, ni de peiner,
Elle peut tout partager,
de nos joies, de nos secrets,
Que ce soit la nuit, le jour,
elle vole à notre secours,
Impalpable comme le vent,
forte comme l'océan,
L'Amitié c'est de l'or,
Que l'on garde comme un trésor.
 




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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 18:31





 
 

L'heure d'été ?


Les margoulins ne lui disent pas merci. Parole de képi à galons, les monte-en-l'air de tout acabit n'aimeraient rien tant que la fin d'après-midi brumeuse, l'assombrissement vespéral un peu rapide, les ténèbres au moment des vêpres.


Tout ça, battu en brèche par cette fichue heure d'été qui fait des journées sans fin, des soirées plus claires que claires sous nos lattitudes - au Pôle Nord, où le phénomène est connu de longue date et parfaitement régulier, on s'en fiche un peu plus : le phénomène des cambriolages d'igloo y est inexistant (qui sérieusement aurait déjà entendu parler de ce type de délinquance polaire ?).


Mais revenons à nos moutons noirs. D'après l'expérience gendarmesque, il a été mis en lumière que le bonheur du cambrioleur, c'est la petite fin d'après-midi bien sombrette.


A ce moment de la journée, une absence de clarté dans les logis serait la meilleure amie du casseur à l'affût. Par raisonnement inverse : là où il y a de l'halogène, il n'y a pas de plaisir de voleur.


Voleurs en lumière


Rares étant les occupants déjà endormis à cet instant, avant même le dîner, tout comme de nos jours les pannes d'électricité localisées à une seule adresse, l'obscurité d'une demeure serait perçue par certains auteurs de fric-frac comme une vraie invitation à se servir - tout du moins une incitation à briser la glace.


Mais voilà, le métier de malfaiteur aussi a ses revers, on n'ose parler d'aléas saisonniers. Avec le passage à l'heure d'été, plus moyen de se fier à l'indice d'occupation éclairée d'un foyer.


Aucun résident n'ayant l'élégance de signaler son absence aux beaux jours, la tâche se complique sérieusement pour les malfrats en maraude.


De là à en conclure que, dans le but de faire baisser la délinquance en général et les atteintes aux biens en particulier, rien ne vaudrait des journées payées strictement limitées aux matinées.


On peut toujours rêver.


Et pourquoi pas interdire au soleil de se coucher, tant qu'on y est ?


Un genre de vol de nuit, en fin de compte.


Didier Rose 

          Je pense donc je lis les DNA

 


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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 12:37






 
La fourmi trime à mort,
A suer de tous ses pores.
Infographiste la journée,
Elle créé des milliers de cd.
Sa vie c'est l'ordi,
Ses loisirs c'est fini.
Peut-être un jour,
Elle arrêtera son parcours.
Mais dans ce récit,
Elle glande pas, elle produit.
Une cigale épaisse comme une queue de pâquerette,
Chantait, dansait accoudée à la buvette.
La vie pour elle n'était que fête,
Et tout dans sa vie était chouette.
Mais l'hiver ensevelit la taverne,
Alors la cigale chopa des cernes.
Je vais pas vous raconter des balivernes,
Elle se finissait au sauterne.
La fourmi pendant ce temps terminait son cd,
La quille arrivait, elle allait enfin graver.
Mais l'avant gravage, elle se mit à fêter,
Et bourrée fut trouvée en train de jeter ses dossiers.
La cigale reconstituée par le pinard,
Termina l'hiver pénard,
Et recommença un été dardar,
En sirotant des petits Ricards.



Merci Flo
                                                                      
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 16:32








 

Un animal, c'est de la vie enveloppée de fourrure ou d'écailles,
habitée par l'inquiétude,
capable oh combien capable de tendresse,
de force,
de courage
et de peur.
    Jean-Paul Lebourhis



 Amour, tendresse, douceurs, tels sont les éléments principaux
dont Dieu a formé l'âme de la femme ;
aimer,
guérir,
consoler,
telle est sa destination sur terre.
    Henri Conscience

Tendresse maternelle
Toujours se renouvelle.
    Proverbe français



 Le passage clouté est le haut lieu
de la tendresse municipale.
    France Quéré
 







 












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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 18:25






 
Les ministres passent.
Les réformes aussi. Le vrai centre de gravité de notre système éducatif demeure : le poids des cartables, avec les âges, n'a pas diminué. Sans doute est-ce le sens profond de la maxime voulant qu'un esprit sain mérite un corps sain. Faut bien. Pour aller au collège, santé et biscotauds obligatoires.
C'est, tous les jours que  le planning fait. un exercice non noté mais impose d'haltérophilie.  Pendant que de grands esprits repensent les en seignements, les marmots font le gros dos.  Avant même que d'avoir la tête sur l'épaule, ils  ont donc intérêt à avoir  la basket renforcée, le  mollet affûté. Mous du genou s'abstenir, sous  peine  d'écroulement  avant même le portail  de l'établissement adoré.
 
 Le poids du savoir 
 
On aurait tort de prendre la question à la légère, tant les cartables  peuvent afficher de   spectaculaires surcharges pondérales. Tenez,   un jour de la semaine,   pour un môme de 6e,  passage sur la balance  du suspect (le sac à dos,  pas l'élève).
Verdict :   plus de 8 kg.
 On a vu pire ? Donc,  exercice pratique à  l'égard des adultes sceptiques. Prendre un pack  de six bouteilles d'eau minérale et tenter de le  tenir à bout de bras.
Convaincu ? 
Comment, toujours pas ?
 Alors, pour ceux que les lois de la physique, et  du physique, ne touchent pas. trimballer avec soi, toute une journée, ce fameux pack.  Circuler en tram, remonter des escaliers, filer manger. Le soir venu,  plus dur sera le retour...

0n critique certes. Mais  combien de fois n'a-t-on entendu parler, en des sphères où l'on ne porte  plus depuis longtemps sa serviette, de projets  d'allégements des programmes, de régime pédagogique. voire à certaines époques de dégraissage du mammouth...

 De l'ironie sans doute.

 D'autant plus cruelle  que se multiplient à l'attention des jeunes générations les messages de  mise en garde sur les  modes : d'alimentation et  le surpoids subséquent. Alors que leurs cartables sont délibérément,  et durablement, obèses.

 Bonnes vacances, les vertèbres. 

Didier Rose 

          Je pense donc je lis les DNA

 




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