23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 17:45

 

 



 

 

 

 

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Estime de soi.
 
 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Authenticité.
 
 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Maturité.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Respect.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire… Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour Propre.
 
 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité.   

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… L’humilité.   

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça s’appelle… Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse. Tout ceci est… Savoir vivre.

 
Charles Chaplin
16 avril 1889,  décédé le  25.12.1977

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il pleut....... !

Merci pour votre visite

 


Partager cet article
Repost0
21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 12:00

 

 

 

 

♥ __________ ♥ __________ ♥

 

 Lui :      Monaco,  28 degrés à l'ombre
C'est fou, c'est trop On est tout seuls au monde
Tout est bleu, tout est beau.
Tu fermes un peu les yeux, le soleil est si haut.
Je caresse tes jambes, mes mains brûlent ta peau.
Elle :     Ne dis rien, Embrasse-moi quand tu voudras
Je suis bien, L'amour est à côté de  toi.
Lui :   On est bien
Lui :    Monaco,  28 degrés à l'ombre
Tu ne dis plus un mot  J'éteins ma cigarette, il fait encore plus chaud  Tes lèvres ont le goût d'un fruit sauvage
Et voilà,  Comme une vague blonde
Tu m'emportes déjà.

Elle  Ne dis rien,
L'amour est au-dessus de moi.

 

♥ __________ ♥ __________ ♥

 

1978

 

 

Auteurs compositeurs  Squid A-Salermo-Magiordani -

Jean Albertini - Didier Barbelivien

 

 

 

Jean-François Maurice (date de naissance ?) de son vrai nom Jean Αlbertini, est un chanteur français. Son plus grand succès est la chanson Monaco, 28 degrés à l'ombre.     Il est décédé le 6 novembre 1996.
 

 


 

 

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 12:30

 

 

 

 

 


Ode à tous ceux qu’on aime,
Et qui un jour s’en vont,
Poursuivre des « je t’aime »,
Qui aussi s’envoleront ;

 

Au bel ami d’un jour,
Oh ! doux amant d’un temps,
A l’amour de toujours,
A celui d’un printemps ;

   

Qu’il dure tout’une vie,
Ou un très court instant,
Aimer est infini,
Et toujours si troublant ;


Plaire, se rencontrer,
Se séduire et puis vivre,
S’aimer et s’enlacer,
Se retrouver, se suivre ;

D’amour ou d’amitié,
Aimer est envoûtant,
A deux c’est plus léger,
Et l’on est plus vivant ;

 

Rien n’est jamais acquis,
Mais l’on s’habitue vite,
A serrer mieux la vie,
Quand l’amour vous habite ;

 

Enivré du moment,
Contre ceux que l’on aime,
On ne voit passer l’ temps,
Ni tout ce qui se sème ;


Quand commence l’histoire,
Que l’espoir est repu,
Nul ne peut alors voir,
La fin dans le début ;


La vie tourna la roue,
Pour que vos cœurs s’attirent,
Afin que vienne à vous,
Accompagné du rire ;

 

Cet ami, ou amant,
Qui partage vos rêves,
Et écrit sa chanson,
Avec votre lumière ;

 


D’autre cœur que le vôtre ,
Avait dû le quitter,
Avec l’espoir, peut-être,
Que vous le rencontriez ;

;


Quelqu’un défit l’union, 
Qui lui était si chère,
Pour qu’il puisse à tâtons,
Trouver votre chaumière ;

 
   

Mais comme il est pressé,
Le bonheur va courant,
Vivre, croire, espérer,
Ne dure qu’un moment ;

 


Ailleurs, vivre l’appelle,
Pour d’autres lendemains,
Accompagnez ses ailes,
Vers ce nouveau destin ;


Rendez l’espace libre,
Pour qu’il aille plus loin,
Ecrire avec joie « vivre »,
Sur d’autres parchemins ;


Des yeux divers des vôtres,
Apprécieront ses mains,
Laissez venir ces autres,
Sur ce nouveau chemin ;

 

Il quitte une émotion,
Pour un autre partage,
Qui n’à pas de prénom,
Ni encore de visage ;

   
Comme il a pris la route,
Vers vous un beau matin,
Redonnez là lui toute,
Pour aller vers demain ;

Tant que la vie nous frôle,
On n’est pas séparés,
Lâcher est votre rôle,
Le destin est parfait ;


Par amour se serrer,
Avec moi tu t’enivres,
Pour l’amour se quitter,
Ne m’attends pas pour vivre ;

 
D’autres pour nous sont prêts,
Il n’est pas là de doutes,
Ils respirent à côté,
Et sont déjà en route ;

 
Aimer c’est laisser vivre,
Et regarder partir,
Accompagner sans suivre,
Pour semer l’avenir.

Merci pour votre visite !

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 17:00

 


 

 

 

 

James Brown -  I Feel Good  -  1966
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 00:02

 

 

 

 

 


La beauté des petites choses
Et autres gestes anodins
C'est un enfant qui court
Au milieu d'un jardin
C'est le chant d'un oiseau
Quand on ouvre sa cage
C'est se coucher dans l'herbe
Et compter les nuages
C'est aller comme le vent
Sans penser à demain
Comme si nous étions libres
Immortels et sans fin.

 

....

  Nicolas Ciccone 2004

 

Merci pour votre visite


Partager cet article
Repost0
3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 00:05



 

 

 

 Quand on est dessinateur, il faut faire comme les canards paraître calme en surface

et pédaler comme un forcené en-dessous !

 

 

 

 

Si vous n'êtes pas responsable de la tronche que vous avez,  vous êtes responsable

de la gueule que vous faites,

alors     S O U R I E Z   !

 

 

 

 

 

Merci pour votre visite !

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 00:09
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Pourquoi tes bisous rouges et sucrés,
Sont tout en haut du cerisier ?

J´aimerais en cueillir un, juste pour goûter,
Mais pourrais-je jamais, atteindre le sommet ?

J´imagine son goût fruité, doucement m´enivrer
et le noyau trois fois sous ma langue retourner.

Je les vois d´en bas, de leur rouge vif me narguer.
Mais sur l´échelle de mes sentiments,

je n'ose me hisser :
De mes rêves déments, j'ai bien trop peur de tomber.

Jack

 



 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 00:05

 

 

 

 

Nights in white satin,
Never reaching the end,
Letters Ive written,
Never meaning to send.
 
Beauty Id always missed
With these eyes before,
Just what the truth is
I cant say anymore.
 cause I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.
 
Gazing at people,
Some hand in hand,
Just what Im going thru
They can understand.
 Some try to tell me
Thoughts they cannot defend,
Just what you want to be
You will be in the end,
 
And I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.
Oh, how, I love you.
 
Nights in white satin,
Never reaching the end,
Letters Ive written,
Never meaning to send.
 
Beauty Id always missed
With these eyes before,
Just what the truth is
....
 
Nuits de satin blanc,
N'arrivant jamais
à leur terme
Lettres que j'ai écrites,
Sans jamais avoir
l'intention de les envoyer
Beauté que
je n'avais jamais su voir
Avec mes yeux d'avant
Simplement quelle est la vérité
Je ne saurais plus le dire
 Car je t'aime,
Oui, je t'aime,
Oh, comme, je t'aime.
 
Observant les gens
Certains marchant
main dans la main
Les épreuves que j'endure
Ils sont simplement
incapables de les comprendre
 Certains essaient
de me faire part
De leurs réflexions
qu'ils ne peuvent argumenter
Exactement
ce que tu veux être
Tu finiras par le devenir,
 
Et je t'aime
Oui, je t'aime,
Oh, comme, je t'aime.
Oh, comme, je t'aime.
 
 

 

1967


The Moody Blues est un groupe de rock britannique

fondé en 1964 à Birmingham.

 

 

      30 ans plus tard...

"Live at Montreux 1997"

 

 

 

 

 On connait ...mais oui on connait !

Merci pour votre visite !

Partager cet article
Repost0
30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 00:04

 

 


Rien de prévu encore pour les vacances ? Pas de panique.
La grande aventure est à portée de bagnole - voire de vélo. Exemple : de Strasbourg, en seulement 160 km, on peut se retrouver, eh oui, à... Moscou (code postal 88240). Qui dit mieux ? Les calculateurs d'itinéraires ! Qui, de ce Moscou dans les Vosges, mènent à un Jérusalem en... 1 minute à peine - 800 m exactement à couvrir. Si l'expérience est jugée concluante, direction Venise, dans le Doubs, cette fois : 120 km, si possible sans se gondoler. De là, les grands espaces sont ouverts : Madrid n'est qu'à 400 km, promenade de santé jusqu'en Essonne. D'autant plus tentant qu'Amsterdam dans les Yvelines attend à même pas 30 km. Folle journée sur les routes.

Voyage, voyage(s)

     L'ambition venant en roulant, rien n'empêche, dès le lendemain, de voir plus loin : Boston n'est qu'à 88 km, dans l'Eure. De là, plus de limites. Et pourquoi pas Rio ? 350 km, les tongs en éventail, jusque dans la Nièvre. Mal d'Alger ? En 33 km vers le Cher, on change encore de continent. D'où on peut faire un crochet - pas de quoi s'en faire une montagne - par Vienne (Isère) : 300 bornes dans les jantes. Crevé ? On comprend. Sitôt remis du jet-lag, cap sur Barcelonne (Drôme), un jeu d'enfant : 90 km tout au plus ! Pour éviter le coup de chaud, saut de puce envisageable jusqu'à Londres (Hérault) : 230 km. Ou, si l'on préfère l'air du sud, étape à Naples, dans la Haute-Garonne, à 310 km. Ce n'est certes pas la Méditerranée à boire d'autant que Bruxelles, il ne s'agit pas d'une histoire belge, est dans le même département, 33 km plus loin. Et débouche sur la ville à laquelle tous les chemins mènent, évidemment : Rome, dans le Gers, n'est plus qu'à 140 km. Sacré périple, non? Sinon, en plus court, on peut se contenter d'un Strasbourg-Mulhouse, ou inversement : 117 km. D'un côté comme de l'autre, de petits malins prétendent que c'est déjà très dépaysant.

 

Didier Rose


 

     Je pense donc je lis les DNA
     Dernières Nouvelles d'Alsace
 


 

 


 




Merci pour votre visite.


 


Partager cet article
Repost0
27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 07:00

 

 

Plante une rose au milieu des orties,
change quelque chose dans ta vie,
là où tu es dans ta famille ou dans ton quartier

Pose une étoile en plein cœur de la nuit


Le monde est plus beau,
le monde est meilleur
Quand tu mets sur le tableau
quelques notes de couleurs


 

 

Partager cet article
Repost0

Texte Libre

 

Articles RÉCents

Liens