6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 08:14

 

 

 

 

 

 

 

Bon sang, que n’y avait-on pensé avant ?

Pour requinquer les villes, nettoyer le fond de l’air, redonner au piéton ses nerfs et ses poumons, voilà la voie à suivre : le covoiturage.  Une bagnole à soi tout seul, c’est mal. À quatre, c’est mieux. À chaque cylindre son équivalent-passager : le bilan carbone en profitera fatalement.

La règle peut souffrir des exceptions : pour accorder son label bio à une Jaguar 12 cylindres, il faudrait en embarquer, des covoiturages.

L’Allemagne a versé dans le transport partagé depuis un moment. Ce n’est pas une raison pour négliger de saluer les initiatives visant à éviter, dans nos autos, la politique du siège vide.

En Alsace, qui en connaît un rayon question pollution atmosphérique, le covoiturage est une idée qui trace sa route. Centrale téléphonique ici, site internet là. Et même, dans certaines grandes boîtes, plans de déplacements collectifs.


En voiture, les co-voiturés

 

Les spécialistes sont formels : la mobilité en commun, on y gagne. C’est moins cher, si du moins on évite le Porsche Cayenne.

C’est plus convivial, pour peu qu’on ne tombe pas sur un fumeur de gauluches sans filtre.  Et c’est moins fatiguant, à condition de ne pas rallonger sans fin les circuits de ramassage.

Bien sûr, inutile d’espérer une réduction du nombre de caisses immatriculées, chaque covoituré gardant la sienne.

Le geste vert ne dispense pas, non plus, d’une élémentaire courtoisie : mieux vaut prévenir les autres occupants qu’un crochet par Lyon est prévu sur le chemin de la Suisse, sous peine de mutinerie à bord.  De bien menus désagréments, face à une pratique jugée plus éco-durable que le chacun pour soi.

Au point que l’on pourrait se demander pourquoi le covoiturage n’a pas été inventé plus tôt. Peut-être certains ont-ils leur idée sur la question. Par exemple les auto-stoppeurs qui jalonnaient les nationales il n’y a pas si longtemps, et qui passaient pour de doux rêveurs.

 

 

Didier Rose


 

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smilie

 

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 08:00


 

Morgane,
 
Tu es notre enfance
Le berceau
de tout
temps
 

La petite fille blonde de la plage
Celle qui joue dans son jardin
Parmi les oiseaux, et les fleurs
Celle qui danse étonnament qui chahute avec ses chiens
Et fait rire ses copains
Morgane, câline et espiègle
Petite-fille de mes rêves..
Mais le sais-tu ?
Si ton regard doré Croise le mien
Cela fait battre mon cœur
Et quand tu me souris
Je sais pourquoi je vis ...
Je t'aime tendrement
 ta grand-mère  Ghislaine du Teilleul.
Alsace

A

 

 

 

 

ine du Teilleul

 

 

 

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 19:43

Ouf

 

 

 

 




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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 13:28

 

 

 

 


Une lettre de Roumanie, ce n’est pas tous les jours. Surtout quand on n’y connaît à peu près personne.

Il est plus rare encore qu’une telle missive vienne évoquer un chien disparu depuis des semaines.

C’est pourtant ce courrier qu’ont reçu Barbara et Christian, gérants d’une station-service à Lipsheim (Alsace).

Dans un charabia un peu morveux, l’auteur leur parle d’Ugo, bulldog de 8 ans, volatilisé quatre mois auparavant.

Les maîtres d’Ugo s’en doutaient bien. Ils en ont dès lors la confirmation : Ugo, pépère sympa avec tout le monde, a été embarqué. Sans doute par un routier de passage.

Pas très fidèle en amitié, le kidnappeur : au bout de 500 km, il a largué l’animal, en Allemagne.

Heureux qui comme Ugo

Gagné par le remords, à moins qu’il n’ait vu l’avis de recherche lors d’un passage en Alsace, le Roumain fait cette fleur aux propriétaires d’Ugo : il leur indique l’endroit où il a viré le chien, à Leinefelde, près de Kassel.

Sans guère d’illusions, Christian décroche son téléphone. Appelle le refuge local pour animaux. Où, autre coup de théâtre, on a gardé souvenir du bulldog.

Un voisin l’avait apporté, pour identification. En vain : la puce placée dans l’oreille du toutou restant muette, on pouvait aller se gratter, pour en connaître le pedigree.

L’adresse du bon samaritain en revanche avait été conservée. C’est là que le maître d’Ugo l’a retrouvé, pas des masses impressionné.

Simplement, Ugo dans l’affaire s’était trouvé une nouvelle identité : preuve d’une belle capacité d’adaptation, il était devenu Schmitty.

Il paraît que ses nouveaux patrons ont pleuré, quand Schmitty a repris la route en sens inverse pour redevenir Ugo. Et retrouver sa gamelle, à la station-service.

Aux dernières nouvelles, Ugo n’aurait pas pris d’accent particulier. On ne sait pas en revanche s’il a gardé l’habitude d’aller renifler par les portières entrouvertes cette curieuse odeur de voyage que dégagent les voitures.

 

 

 

Didier Rose


 

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 12:54

 


 

 

 

 

 

 


 

"Pourquoi se plaindre quand il n'y a pas de bonheur alors qu'il est au pouvoir et à la portée de chaque être, d'être la source même de son bonheur."


"Il faut savoir utiliser le temps de la vie comme une cueillette de fruits :  

abandonner les fruits qui sont déjà tombés,
cueillir ceux qui sont mûrs,
et laisser les autres mûrir pour demain."


"Il est très difficile de vivre sa vie une fois qu'on a bien compris que toute vie humaine est inséparablement liée aux mille et une vies qui l'entourent."


"On apprend à devenir heureux seulement lorsqu'on apprend à aimer les gens comme ils sont :  Pas comme ils devraient être."


"S'il convient d'émettre des bonnes pensées pour produire de bonnes actions,  il importe aussi d'émettre des pensées justes pour émettre des actions justes."


"Un homme ne peut certainement pas tout dire et tout faire ;  mais ce qu'il dit et fait, il doit absolument bien le dire et bien le faire,
autrement, qu'il ne dise et ne fasse rien."


"On devient rarement bon et efficace dans la vie quand on laisse aux autres  le soin de déterminer pour nous ce qui est bien et mauvais."


 J.P. Martin

 

 

 

 

 

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 01:03

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

En croyant cependant

la rencontrer un jour
Il y a dans le vent

lorsqu'il ne fait que geindre
Des murmures de voix

refusant le bonheur
Se donnant le seul droit,

le seul droit de se plaindre
Ne laissant que le choix

de goûter au malheur


Le vent qui murmure des je t'aime,
Qui murmure des poèmes
A besoin de l'amour


 Line et Willy - 1966

 

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 12:06

 


 

Israel "IZ" Kamakawiwo'ole est né en 1959 sur l'île d'O`ahu  

"Over The Rainbow" (reprise de Judy Garland dont l'original date de 1939 pour le film "Le magicien d'Oz"), bénéficie en cette rentrée 2010, d'une nouvelle réédition chez Universal Music.

Un single aujourd'hui réédité, treize ans après sa disparation (Israel meurt en effet en 1997, d'obésité, à l'âge de 38 ans), classé n°1 en Allemagne, n°19 en Suisse, n°32 en Autriche et n°35 au Danemark.

 

 

 

 

   

Somewhere over the rainbow
Way up high
And the dreams that you dreamed of
Once in a lullaby
Somewhere over the rainbow
Blue birds fly
And the dreams that you dreamed of
Dreams really do come true ooh ooooh
Someday I'll wish upon a star
Wake up where the clouds are far behind me ee ee eeh
Where trouble melts like lemon drops
High above the chimney tops thats where you'll find me oh
Somewhere over the rainbow bluebirds fly
And the dream that you dare to,why, oh why can't I ? (...)


 

 

 

 

Over The Rainbow (Au-delà De L'arc-en-ciel)

Quelque part au-delà de l'arc-en-ciel
Bien plus haut
Et les rêves que tu as rêvés
Une fois dans une berceuse
Quelque part au-delà de l'arc-en-ciel
Les oiseaux bleus volent
Et les rêves que tu rêves
Ces rêves se réaliseront
Un jour je ferai un souhait en regardant une étoile
Me réveillerai là où les nuages seront loin derrière moi
Où les ennuis fondront comme des gouttes de citron
Haut au-dessus des cheminées, c'est là que tu me trouveras
Quelque part au-delà de l'arc-en-ciel les oiseaux bleus volent
Et les rêves dont tu oses rêver, pourquoi,

oh pourquoi ne pourrais-tu pas ?

Oui, je vois les arbres verts
Et les roses rouge aussi
Je les vois pousser pour moi et toi
Et je me dis en moi-même
Quel monde merveilleux

Oui, je vois les cieux bleus et les nuages blancs
Et la lumière du jour
J'aime l'obscurité et je me dis en moi-même
Quel monde merveilleux

Les couleurs de l'arc-en-ciel si jolies dans le ciel
Sont alors sur les visages des passants
Je vois des amis qui se serrent la main
Se disant « Comment ça va ? »
Ils se disent en réalité, « Je t'aime »
J'entends les bébés pleurer et je les vois grandir
Ils en apprendront bien plus
Que nous n'en sauront jamais
Et je me dis en moi-même
Quel monde merveilleux

Un jour je ferai un souhait en regardant une étoile
Me réveillerai là où les nuages seront loin derrière moi
Où les ennuis fondront comme des gouttes de citron
Haut au-dessus des cheminées, c'est là que tu me trouveras
Oh, Quelque part au-delà de l'arc-en-ciel
Bien plus haut
Et les rêves que tu oses rêver, pourquoi,

oh pourquoi ne pourrais-tu pas ?

 

 

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 01:04

 

 

 

 

 


* Un jardinier qui sabote une pelouse est un assassin en herbe.
   

* Quand l'arbre est petit, le jardinier peut encore le manipuler, mais quand il est grand, il ne pourra plus le redresser.
  

  * Il y a trois temps qui déplaisent souverainement aux jardiniers : le temps sec, le temps pluvieux et le temps en général.
 

 

    * Mieux vaut vivre enchaîné près de celui que l'on aime, que libre au milieu des jardins près de celui que l'on hait.
  

  * Dans le langage des jardiniers, les plantes crèvent, mais les roses meurent.
 

 

    * Ce n'est ... ni en architecte, ni en jardinier, c'est en Poète et en Peintre qu'il faut composer des paysages.
  

  * Dieu Tout-Puissant planta tout d'abord un jardin. Et, vraiment, c'est le plus pur des plaisirs humains.
   

* Entre un savant et un poète il y a la même différence qu'entre un jardin botanique et une forêt.
 

   * Après tout, qu'est Dieu ? Un enfant éternel jouant à un jeu éternel dans un éternel jardin.
  

  * Et semblable à l'abeille en nos jardins éclose, - De différentes fleurs j'assemble et je compose - Le miel que je produis.

 

   * Celui qui plante un jardin, plante le bonheur.
        

        * Un jardin, même tout petit, c'est la porte du paradis.
     


 

 

 

 

 

 

 

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 01:01

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le cœur nous transporte dans un
autre monde
Quand il bat la chamade
Pour l'être aimé.


Le cœur nous fait vibrer corps et âme
Quand il cogne de toutes ses forces
Pour l'être adoré.

Le cœur nous inonde de bonheur
Quand il tressaute de joie
Pour l'être chéri.

Le cœur nous fait vivre à son rythme.
Le cœur représente la vie.
Le cœur est le symbole de l'amour.

Deux cœurs réunis n'en font plus qu'un,
C'est le cadeau le plus précieux
Tel un bijou dans son écrin.
Faisons le battre à l'unisson
Jusqu'à la fin des temps.

Dominique Schultz
Eckwersheim - Alsace

 

 

 

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 01:04

 


 

 

 

 

 

     Des esprits, que l'on hésite à qualifier d'éclairés, sont formels. A notre époque, la signalisation lumineuse à vélo, c'est purement accessoire. La preuve, selon certains, parfois on n'en a même pas besoin.
En ville, de nuit, le cycliste aurait, outre d'indéniables vertus écologiques, le privilège autant que le bon goût de pouvoir se draper de noir. Circulez, y a rien à voir.
La bonne idée que voilà. Adieu piles éphémères, dynamos irritantes et ampoules trop tôt subclaquantes. Plus en phase que jamais avec son environnement, le cycliste nocturne se fond dans le décor, diminue la pollution y compris lumineuse.

Lueur de désespoir

     Bref, plus écolo, tu meurs. Sous les roues d'un camion, d'un autobus ou d'une voiture, tout reste affaire de circonstances, à défaut de convenances.
Le message a d'indéniables vertus pédagogiques. Roulez jeunesse, sur vos biclous fantômes, le monde vous appartient. Aux autres de vous éviter, et pas seulement aux conducteurs. Qu'elles seront gaies et animées, les villes du futur. Le piéton se fera torero - olé, encore un VTT. Les poussettes ont intérêt à se garer - tu vas où, sans lumière ?
Argument entendu : le code de la route n'est plus adapté aux temps présents. Exact. Sans doute n'avait-il pas prévu que dans les villes enfin livrées aux cyclistes, et heureusement débarrassées de ces foutues bagnoles, flâner deviendrait de plus en plus sportif.
Dans des pays voisins, et pas des plus arriérés, les zones piétonnes le sont vraiment, pas de Contador qui vaille sur le pavé. Et il ne viendrait à l'idée de personne de pédaler de nuit sans éclairage.
L'exception française redonne tout son sens au mot liberté. Pour la fraternité on repassera. Quant à l'égalité, on y travaille : incroyable, le nombre de voitures-cyclopes à parader ces temps-ci. Plus qu'un seul phare de vaillant, et pourtant, en avant.
Encore un effort : il suffirait que défaille le second feu pour mettre tout le monde, voitures et cyclistes, à même hauteur de vue. On le pressentait, le siècle des Lumières c'est du passé.

 

 

Didier Rose


 

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