10 novembre 2014
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N'essayez pas d'apprendre un
tour à votre chat,
il les connaît déjà tous.
Sidra Malik
Si les chats pouvaient parler,
ils nous mentiraient.
Rob Kopak
Si les chats pouvaient parler,
ils s'en abstiendraient.
Nan Porter
Les chats détestent les portes
fermées, quel que soit le côté
où ils se trouvent.
Liliane Braun
S'il pleut côté jardin,
la plupart des chats
sont persuadés
qu'il y a une chance
qu'il ne pleuve pas côté rue.
William Toms
Pour contenter les chats, il faudrait inventer un nouvel adverbe, intermédiaire entre
"dedanset dehors".
Mathilde Forestier
Autrefois, les chats étaient
vénérés comme des dieux, ils
ne l'ont jamais oublié.
Anonyme
On ne possède pas un chat, on
est autorisé à entrer dans la vie
d'un chat, ce qui est,
bien évidemment, un privilège.
Béryl Reid
Le chat est un lion dans une
jungle de buissons.
Proverbe indien
Le grand mystère qui plane
autour des chats, c'est la raison pour laquelle ils ont accepté
d'être domestiqués.
C. Mackenzie
On ne peut contraindre les
chats à faire quoi
que ce soit d'utile.
O'Fiourke
Le grand charme des chats,
c'est leur égoïsme latent, leur
refus insouciant des responsa-
bilités... les chats ne sont que
dédain pour tout ce qui n'est
pas leur intérêt immédiat.
Fiobertson Davies
Les chiens ont des maîtres.
Les chats ont des esclaves.
Amanda Bell
Oseriez-vous dire
"aux pieds" à un chat ?
Ou "Assis" ?
Vous n'obtiendriez de lui qu'un
regard de mépris incrédule.
Patty Garnham
Le chat semble mettre un point
d'honneur à ne servir à rien, ce
qui ne l'empêche pas de revendiquer au foyer
une place meilleure
que celle du chien.
Michel Tournier
Les hommes ont modelé
les chiens à leur gré.
Les chats sont exactement
comme ils étaient
il y a dix millions d'années.
Manon Garretty
Un chien comme
je l'ai toujours
dit, est de la prose.
Un chat est un poème.
Jean Burden
La supériorité
du chat sur le chien,
c'est qu'il n'y a pas
de chats policiers.
Jean Cocteau
Si un chien
saute sur vos genoux,
c'est parce qu'il vous aime ;
si un chat fait la même chose,
c'est parce qu'il y est
plus au chaud.
A. Whitehead
Il y a deux moyens
d'oublier les
tracas de la vie :
la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Il n'y a pas
de chats ordinaires.
Colette
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Calendrier et autres
5 novembre 2014
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Ce matin, j'ai embrassé la première personne que j'ai vue
en lui disant que je l'aime avec ses défauts,
ses qualités et que c'est une personne merveilleuse et irremplaçable .
Que j'en suis fière et que je sais qu'elle sera toujours là pour moi.
Ensuite j'ai nettoyé mon miroir.
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Top
3 novembre 2014
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Le groupe est formé en 1958 à Dagenham, dans l'Essex, sous la dénomination de Brian Poole and the Tremeloes. Il est auditionné en 1962, en plein Swingin London, par les disques Decca et engagé aussitôt. Le groupe obtient un premier succès avec « Twist and Shout », no 4 en Angleterre en 1963. Il réussit même à être no 1 la même année avec « Do You Love Me », une reprise du succès des Contours. Après le départ de Brian Poole, en 1966, le groupe continue sa carrière sous la simple dénomination de Tremeloes, avec Ricky West comme leader.
Il se compose à l'origine de
- Brian Poole, chanteur, né le 2 novembre 1941,
- Ricky West, guitariste, né le 7 mai 1943,
- Alan Blakely, guitariste et claviériste, né le 1er avril 1942,
- Alan Howard, bassiste, né le 17 octobre 1941
- et Dave Munden, batteur, né le 12 décembre 1943.
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Silence Is Golden - Le Silence est d'or
Oh, don't it hurt deep inside
Oh, cela ne fait-il pas très mal au fond de soi
To see someone do something to her
De voir quelqu'un lui faire quelquechose (à elle)
Oh, don't it pain to see someone cry
Oh, n'y a-t-il pas de la douleur à voir quelqu'un pleurer
Oh, especially when someone is her
Oh, particulièrement quand ce quelqu'un c'est elle
Silence is golden, but my eyes still see
Le silence est d'or, mais mes yeux voient encore
Silence is golden, golden
Le silence est d'or, d'or
But my eyes still see
Mais mes yeux voient encore
Talking is cheap, people follow like sheep
Les paroles n'ont pas de valeur, les gens suivent comme des moutons
Even though there is nowhere to go
Même s'il n'y a nulle part où aller
How could she tell, he deceived her so well
Comment peut-elle dire, il l'a trompée si bien
Pity, she'll be the last one to know
Pitié, elle sera la dernière à savoir
How many times will she fall for his line
Combien de fois tombera-t-elle pour sa conduite (à lui)
Should I tell her or should I keep cool?
Devrais-je lui dire ou devrais-je rester zen ?
And if I tried, I know she'd say I lied
Et si j'avais essayé, je sais qu'elle aurait dit que je mentais
Mind your business, don't hurt her, you fool
Occupe-toi de tes affaires, ne lui fais pas de mal, toi l'imbécile
1967
Disco 71 chaine allemande ZDF le 1er novembre 2014
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Vidéo
1 novembre 2014
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. Mon bon maître, Je voudrais être ton compagnon honnête, Plutôt que ta noble conquête. Apprend à me parler, Je te comprendrai sans me tromper. Que ta main soit ferme sur les rênes, Alors où tu veux je t'emmène. Aie confiance en moi autant qu'il le faut, Ma loyauté ne te fera pas défaut. N'aie crainte de me charger, J'ai de la force à dépenser. Si tu dois te battre, emmène-moi, Je veillerai sur toi. Si tu ne choisissais qu'un seul ami, Je voudrais être celui-ci. | |
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Ne pas s'en faire
28 octobre 2014
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| les mots de tous les jours ne portent ni veston ni cravate ils dépeignent le quotidien ils parlent de sentiments de caresses et d'affection ils tapent sur l'épaule du copain qui est dans le pétrin qui a besoin de compréhension ils lui disent les mots qu'il faut et ils versent avec compassion du baume sur les plaies qui marquent sa peau ................ | sans se prendre pour des acrobates les mots sourient aussi à la vie ils leur arrivent de faire les bouffons de marcher les pattes en l'air ils s'esclaffent et rigolent ils racontent des blagues souvent même assez polissonnes s'expriment sans faire de détours sur le sexe et la drague ils s'amusent à jouer des tours sans prendre les choses trop au sérieux ........... | mais les mots comme va le vent vite changent de direction virent de tribord à bâbord deviennent tantôt tristes avec des accents mélancoliques tantôt ils sont remplis d'angoisse affichent des visages affligés parfois avec gêne ils bafouillent ne savent plus trop quoi dire alors tout piteux ils se taisent leurs silences éloquents en disent long --------- | à d'autres moments leur ton est lyrique ils s'enfilent comme des perles et s'alignent pour former des vers qui disent avec plus de douceur l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut ils prononcent tout bas les déclarations de l'amoureux transi à sa bien-aimée et quand ils deviennent muets ce n'est pas parce qu'ils bougonnent c'est qu'ils n'ont plus rien à dire et que dans le dictionnaire ils dorment | Auteur inconnu | |
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Calendrier et autres
22 octobre 2014
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18:00
Deux vieillards marchent dans la rue
Tous leurs amis sont maintenant disparus
Aujourd’hui un autre a été enterré
Et ils se demandent qui sera le dernier .
Assis à une table ils se content leurs souvenirs
Sans se soucier du dernier qui va mourir.
Ils savent très bien que le compte à rebours s’achève
Mais ils sont déjà si loin dans leurs rêves
Perdu dans un coin merveilleux de leur vie
En pensant à leurs femmes ou à leurs amis.
Et puis des larmes naissent dans leurs yeux
Est-ce parce qu’ils sont heureux, ou vieux
Un vieil homme marche seul dans la rue
Tous ses amis sont maintenant disparus.
Car aujourd’hui il a enterré le dernier
Mais il sait très bien qui est le dernier
Comme ça doit être triste d’être le dernier à mourir
Sans plus personne pour se rappeler des souvenirs
Sans plus personne pour se faire consoler.
Comme il doit avoir envie de se tuer
Un vieil homme est assis et attend la mort
Il endure toutes les souffrances de son corps
En pensant à ses amis qui ont retrouvé leur jeunesse
En pensant à sa solitude et à sa détresse.
Tout à coup il a peur d’être devenu immortel
Il aimerait bien être déjà rendu au ciel
Auprès de sa femme et de ses amis
Car le vieil homme voit en eux le paradis
09/03/2007
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Ils ont écrit
19 octobre 2014
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07:33
Anne Vanderlove, de son vrai nom Anne Van der Leeuw est une auteur-compositeur-interprète française d'origine néerlandaise, née le 11 décembre 1939 à Scheveningen, La Haye. Elle commence sa carrière en 1965 en se produisant Chez Georges, un cabaret de la rue des Canettes, à Saint-Germain des Prés. Elle acquiert la célébrité en 1967 avec la chanson Ballade en novembre, qui lui vaut un Grand prix du disque et enregistre l'album homonyme la même année. |
Qu'on me laisse à mes souvenirs,
Qu'on me laisse à mes amours mortes,
Il est temps de fermer la porte,
Il se fait temps d'aller dormir
Je n'étais pas toujours bien mise
J'avais les cheveux dans les yeux
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois bien qu'il m'aimait un peu
Il pleut
Sur le jardin, sur le rivage
Et si j'ai de l'eau dans les yeux
C'est qu'il me pleut
Sur le visage.
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Le vent du Nord qui s'amoncelle
S'amuse seul dans mes cheveux
Je n'étais pas toujours bien belle,
Mais je crois qu'il m'aimait un peu
Ma robe a toujours ses reprises
Et j'ai toujours les cheveux fous
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois que je l'aimais beaucoup
Si j'ai fondu tant de chandelles
Depuis le temps qu'on ne s'est vus
Et si je lui reste fidèle,
A quoi me sert tant de vertu ?
Qu'on me laisse à mes amours mortes !
Qu'on me laisse à mes souvenirs
Mais avant de fermer la porte,
Qu'on me laisse le temps d'en rire
Le temps d'essayer d'en sourire...
Qu'on me laisse le temps d'en rire
1967
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Vidéo
11 octobre 2014
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17:15
Mots au quotidien. les mots de tous les jours ne portent ni veston ni cravate ils dépeignent le quotidien ils parlent de sentiments de caresses et d'affection ils tapent sur l'épaule du copain qui est dans le pétrin qui a besoin de compréhension ils lui disent les mots qu'il faut et ils versent avec compassion du baume sur les plaies qui marquent sa peau sans se prendre pour des acrobates les mots sourient aussi à la vie ils leur arrivent de faire les bouffons de marcher les pattes en l'air ils s'esclaffent et rigolent ils racontent des blagues souvent même assez polissonnes s'expriment sans faire de détours sur le sexe et la drague ils s'amusent à jouer des tours sans prendre les choses trop au sérieux mais les mots comme va le vent vite changent de direction virent de tribord à bâbord deviennent tantôt tristes avec des accents mélancoliques tantôt ils sont remplis d'angoisse affichent des visages affligés parfois avec gêne ils bafouillent ne savent plus trop quoi dire alors tout piteux ils se taisent leurs silences éloquents en disent long à d'autres moments leur ton est lyrique ils s'enfilent comme des perles et s'alignent pour former des vers qui disent avec plus de douceur l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut ils prononcent tout bas les déclarations de l'amoureux transi à sa bien-aimée et quand ils deviennent muets ce n'est pas parce qu'ils bougonnent c'est qu'ils n'ont plus rien à dire et que dans le dictionnaire ils dorment Auteur inconnu |
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Ils ont écrit
9 octobre 2014
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18:04
Les compléments nutritionnels alimentent un fantasme. Il est vieux. Il est bien français. Et il persiste à conditionner notre bien-être à l’absorption d’une somme croissante de pastilles et d’ampoules. C’est comme si le pays était peuplé d’anti-Obélix. Faute d’être tombés tout petits dans une potion magique, ils passent leur vie à en chercher la formule. Quitte à mélanger parfois les ingrédients en dépit du bon sens. Et, paradoxe absolu, à se retrouver à l’hôpital. Ce syndrome gaulois ne nuit pas à tout le monde. Il fait la bonne santé financière de pourvoyeurs des mixtures les plus improbables. Ces industriels de la santé en flacons auraient tort de se priver. Dans l’imaginaire collectif, chaque fatigue, irritabilité, perte de cheveux ou surpoids a son antidote sous forme de comprimés. Pour les préparateurs de pilules contre les soucis, le marché est tentant. Leurs vitamines à eux, c’est notre aspiration à aller mieux, avec le moins d’efforts possible. Voilà le problème : on dort mal, on mange trop, on stresse à longueur de journée, on s’épuise à vouloir ressembler à des clichés publicitaires… et on ne change rien à nos comportements. Plutôt que d’assainir sa nourriture, plutôt que de répondre aux prescriptions d’activité physique et d’hygiène de vie, plutôt que de ralentir, on dépose des euros sur un comptoir en échange de bonbons aux effets parfois tragiques. On joue à une roulette moléculaire dans l’espoir qu’une gélule dans le lot marchera. Ce comportement ressemble à celui d’un convive au restaurant qui commanderait tout le menu au prétexte que l’un au moins des plats lui sera bénéfique. Sans même parler de l’addition, est-ce vraiment raisonnable ? Face aux allégations et promesses des nutriments, en fait rarement nécessaires, la réponse n’est plus de céder à toutes les tentations. Mais bel et bien d’exercer des choix. À commencer par celui d’être un peu moins consommateur et un peu plus acteur de sa propre santé. Didier Rose L’éditorial Je pense donc je lis les DNA | |
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Didier Rose
6 octobre 2014
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Richard Noel Marx (né le 16 septembre 1963 à Chicago, Illinois) est un auteur-compositeur-interprète et un producteur de musique américain. Pendant les années 1980 et 1990, Marx a sorti plusieurs tubes, y compris Right here waiting,
Marx a commencé sa carrière comme musicien à l'âge de 5 ans, en chantant des petites chansons écrites par son père, Dick, pour des spots publicitaires du beurre de cacahuètes de Peter Pan et de Nestlé Crunch. Marx avait 17 ans et habitait dans une banlieue de Chicago quand une bande de ses chansons était découverte par Lionel Richie.
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Right Here Waiting
(Je Serai Juste Ici A T'attendre)
Oceans apart, day after day
Des océans nous séparent, jour après jour
And I slowly go insane
Et je deviens fou petit à petit
I hear your voice, on the line
J'entends ta voix, au bout du fil
But it doesn't stop the pain
Mais cela ne guérit pas ma douleur
If I see you next to never
Si je ne te vois presque jamais
How can we say forever ?
Comment peut-on dire pour toujours ?
Wherever you go, whatever you do,
Peu importe où tu vas, peu importe ce que tu fais
I will be right here waiting for you
Je serai juste ici à t'attendre
Whatever it takes, or how my heart breaks
Peu importe ce que cela nécessitera,
Ou comment mon coeur se brisera
I will be right here waiting for you.
Je serai juste ici à t'attendre
I took for granted, all the times
J'ai pris pour acquis, toutes les fois
That I thought would last somehow
Où j'ai cru d'une façon ou d'une autre, que ça durerait
I hear the laughter, I taste the tears
J'entends les rires, je goûte les larmes
But I can't get near you now
Mais je ne peux m'approcher de toi maintenant
Oh can't you see it baby
Oh, ne vois-tu pas bébé
You've got me going crazy
Tu me rends complètement fou
1989
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