16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 12:01













Chers Québécois et Québécoises,
                           
     (Idem pour vous Français)

 
Bonjour, c'est moi, la pluie.

Je voudrais répliquer à la campagne de dénigrement que vous menez à mon égard.

Je sais que vous me détestez depuis toujours, et cet été encore plus que jamais. Ben savez-vous quoi ? Je suis encore plus tannée de vous autres que vous êtes tannés de moi ! C'est fort. Ça fait 400 ans que j'endure, aujourd'hui, je déborde !
 
Je ne suis plus capable de vous entendre vous plaindre de moi:
«Ah ! pas encore de la pluie ! Maudite pluie ! Y fait pas beau !»
C'est quoi, ça, il ne fait pas beau ? C'est tout à fait subjectif. Pourquoi le soleil, c'est du beau temps, et la pluie du mauvais temps ? Vous irez en Éthiopie, au 100e jour de sécheresse, voir s'ils trouvent qu'il fait beau.  Laissez-moi vous dire que, lorsque j'arrive là-bas, c'est moi, le beau temps.
 
Pourquoi êtes-vous en adoration devant le soleil ?
 Le soleil vous brûle, vous donne le cancer et vous tue. Vous êtes absurdes. Vous vous déshabillez quand il fait soleil et vous vous habillez quand il pleut ! Gros quotients !
C'est le contraire qu'il faut faire.
 
Le soleil, c'est du feu.
La pluie, c'est de l'eau. Vous habillez-vous pour prendre votre douche ? Votre peau aime l'eau. Votre peau haït le feu.
Vivez en harmonie avec votre corps.
Quand il pleut, au lieu de vous couvrir et de vous réfugier dans la maison, enfilez votre maillot et venez dehors.
Pas besoin de crème et d'indice de protection. Vous n'êtes jamais autant en sécurité dehors que lorsqu'il pleut. Bien sûr, un éclair peut venir vous chatouiller un peu.
Mais là, pas besoin d'avoir peur, franchement ! Avez-vous déjà gagné à Loto-Québec ? Non ? Ben vous ne serez pas foudroyé non plus.
 
J'ai un cœur, moi aussi.
Comment pensez-vous que je me sens quand j'entends quelqu'un dire: «On a eu un été pourri, il a plu tout le temps» ?
C'est pas parce qu'il pleut qu'on ne peut pas avoir un été merveilleux.
Que fait l'homme quand il fait soleil ?
Il joue au golf.
Que fait l'homme quand il pleut ? Il fait l'amour.
Vous n'allez pas me dire, messieurs, que vous préférez jouer au golf plutôt que faire l'amour à votre femme ?
Et vous, mesdames, vous n'allez pas me dire que vous préférez que votre mari joue au golf plutôt qu'il vous fasse l'amour?
 
Il n'y a rien de plus romantique, de plus sensuel que moi. Quand on tombe amoureux, on dit qu'on a un coup de foudre, pas un coup de soleil. Le coup de soleil, ça vous rend rouge comme un homard, puis vous pelez pendant deux semaines. Le coup de foudre vous rend heureux et léger.
 
Pourtant, vous chantez le soleil:
«Soleil! Soleil !»
Vos grands poètes écrivent même des odes à la neige: «Ah ! que la neige a neigé...» «Mon pays, c'est l'hiver.»
Pour moi ? Rien.
À part une toune de Vilain Pingouin.
Rien pour remonter un ego. Voulez-vous bien me dire ce que je vous ai fait pour que vous aimiez même la neige plus que moi  ?
C'est du racisme !
Après que je suis tombée, vous n'avez rien à faire.
Vous allez dehors et vous sifflez.
Pas de pelletage, pas de millions à dépenser pour tout ramasser avec des camions.
Niet.
 Votre gazon est plus beau.
Et l'air sent meilleur.
Mais pas le moindre merci.
Pas la moindre poésie.

 
Je suis tannée des petites météorologues qui parlent de moi comme si j'étais la peste ou Ben Laden : «On ne vous dira pas ce qui s'en vient pour la fin de semaine ! C'est effrayant ! Faut surtout pas que vous soyez fâchés contre moi. Je n'y suis pour rien !»
 
On le sait bien, que tu n'y es pour rien.
T'es pas Zeus !
T'es juste une jolie fille qui lit des cartons.
La pluie est un effet spécial qu'aucun Stephen Spielberg n'est capable de reproduire.
Au cinéma, parfois, ils font pleuvoir sur un coin de rue, et ça leur coûte un bras ! Wow ! Moi, je suis capable de pleuvoir de Gaspé à Gatineau !
 Pour pas une cenne ! Profitez-en au lieu de gueuler !
 
Y a juste Gene Kelly qui a compris qu'on peut avoir du fun sous la pluie.
Si toutes les belles filles se promenaient en costume de bain quand il pleut, il y aurait plus de gars sur les terrasses les jours de pluie que les jours de soleil.
 
Quand il mouille, c'est le temps de laver votre char, ça ne peut pas être plus écologique. C'est vrai, vous n'arrêtez pas de dire que l'eau est rare, qu'il faut l'économiser, il y a même des polices pour surveiller ce que le voisin fait avec son boyau.
Et quand cette manne vous tombe du ciel, arrose vos jardins, nettoie vos trottoirs, gratis, vous trouvez le moyen de râler.
 
Ça va faire ! Le monde change, ben vous allez changer.
 Le virage vert, vous allez le prendre pour vrai.
Vous n'arrêtez pas de dire que vous êtes verts et vous déprimez quand il pleut.
C'est pas logique.
Qu'est-ce qui rend la planète verte ?
Moi ! La pluie ! Le soleil la rend jaune caca. Le réchauffement de la planète, ce ne sera pas ma faute à moi, ça va être la faute du soleil, que vous aimez tant.
Vous allez disparaître à cause du soleil,
pas à cause de la pluie !
 
Avant, vous aimiez les gros chars qui polluent, maintenant vous aimez les petites caisses électriques.
Avant, vous aimiez le soleil, maintenant vous allez aimer la pluie.
Le beau temps, ça va être moi.
Le mauvais temps, ça va être lui.

Sinon, je m'en vais. Ou plutôt, je reste ! 
 

Texte de
M. Stéphane Laporte                                                             La Presse


                                  vvvvvvvvvvvvvvvvvvv                                                                                                
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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 07:26









 










Une petite fille rentre de l'école en retard.

Sa maman commence à la gronder, puis elle s'arrête et lui demande :

 Pourquoi as-tu tant de retard ?

J'ai dû aider une autre petite fille. Elle était triste.

Qu'est-ce que tu as fait pour l'aider ? 

Oh, je me suis assise et le l'ai aidé à pleurer                      


Auteur Inconnu

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26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 23:00

 

  

J'ai parcouru plusieurs kilomètres pour trouver le cadeau parfait pour mon enfant.  Après deux longues journées à me creuser la tête, lasse et fatiguée,
j'ai pensé lui demander ce qu'il aimerait.

 

 

 

 

 


Voici la liste des cadeaux qu' elle m'a suggérés :

J'aimerais être Félix, notre petit chat... pour être moi aussi pris dans vos bras
chaque fois que vous revenez à la maison...

J'aimerais être un baladeur, pour me sentir parfois écouté par vous deux,
sans aucune distraction, n'ayant que mes paroles au bout de vos oreilles,
fredonnant l'écho de ma solitude...

J'aimerais être un journal pour que vous preniez un peu de temps
chaque jour pour me demander de mes nouvelles...

J'aimerais être un téléviseur pour ne jamais m'endormir le soir,
sans avoir été au moins regardé une fois avec intérêt....

J'aimerais être une équipe de "foot", pour toi papa,
afin de te voir t'exciter de joie après chacune de mes victoires,
et un roman pour toi maman, afin que tu puisses lire mes émotions....

A bien y penser, je n'aimerais être qu'une chose,
un cadeau inestimable pour vous deux.


Ne m'achetez rien, permettez-moi seulement de sentir
que je suis votre enfant.

 

 
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19 juin 2007 2 19 /06 /juin /2007 12:40

 




-=-=-



qui était Florian Bernard ?

voir ci-dessous :

 

 

 


 

 

 

Ça fait maintenant plus de trois ans ans que j'envoie mes diaporamas tous azimuts, dans plusieurs pays.

J'ai maintenant environ 1000 diaporamas différents en circulation.

Mais il ne se passe pas pas une journée sans que des correspondants me demandent qui je suis.

Je n'ai jamais répondu à ces requêtes, les jugeant indiscrètes, mais aujourd'hui je vais faire une petite exception - pour une seule fois - et profiter de l'occasion de ces 1000 diaporamas de la collection Florimage pour accéder à ces nombreuses demandes qui m'ont été formulées.

 Mais je vais le faire de façon très sommaire et très peu élaborée - tout simplement l'essentiel !

 Des correspondants ne cessent de me demander qui je suis, ce que je fais, ce que je fus, ce que je suis devenu.


Incroyable cette curiosité des gens !!!

L'important ce n'est pas moi, mais mes diaporamas!!!

 



Je ne cherche aucune publicité et je tiens à garder mon anonymat et les prérogatives de ma vie privée.


Mais comme plusieurs m'ont demandé si j'étais un curé - si, si - ou bien professeur, historien, psychologue, et quoi encore!, je veux une fois pour toutes faire le point et surtout dissiper toutes les fausses pistes.


Ensuite je n'y reviendrai plus !


Je suis journaliste retraité depuis plusieurs années de Radio-Canada et de La Presse, de Montréal.


J'ai fait près de 40 ans de journalisme professionnel.


J'ai pris ma retraite en 1991 et je suis alors entré dans l'anonymat, après une vie publique très active et très complète, ce qui m'a permis de voyager et de rencontrer les grands de ce monde, notamment durant l'Exposition universelle de Montréal alors que j'avais été affecté aux entrevues des grands visiteurs.


Ainsi, durant toutes ces années, j'ai pu obtenir des entrevues particulères avec l'empereur Hailé Selassié d'Éthiopie, Winston Churchill, Charles de Gaule, Gilbert Bécaud, Grace Kelly, le cardinal Paul-Émile Léger, Albert Schweitzer, Jerry Lewis, pour ne nommer que ceux-là...


Peu après ma retraite, je me suis installé en Estrie avec ma femme - la même femme depuis 45 ans - où je vis loin du tapage de la ville, dans une retraite paisible.


J'ai le bonheur d'avoir un grand appartement en face d'un lac.


Je me suis alors lancé dans la création de diaporamas par une sorte de déformation professionnelle, car un diaporama est en quelque sorte un reportage journalistique.


Bref, c'est une façon de garder le contact avec le public.


J'ai voulu apporter aux gens un divertissement intellectuel gratuit.


Et c'est ainsi que, petit à petit, j'en suis arrivé à une liste de mille abonnés actifs, - que je ne veux pas dépasser - avec des milliers d'autres en attente...  


Quant à mes autres sphères d'intérêt, il y a l'horticulture, la cuisine, la musique - interprétation, direction chorale et arrangements - la photographie et les arts en général.


J'ai un fils qui est musicien professionnel, ce que moi-même je n'ai jamais réussi à devenir...


 

 

Alors voilà... Rien à ajouter !


 

Florian Bernard
(décédé le 2 juin 2007)

 

 

 


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24 mai 2007 4 24 /05 /mai /2007 22:28



 

 

 

 






"Quand tu as faim, mange ton riz.
Quand tu es fatigué, ferme les yeux.
Les sots peuvent rire de moi,
mais les sages sauront ce que je veux dire"
Lin Tsi

 



 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 17:32



                              



Un succès mondial

Jeanine Deckers est née à Bruxelles le 17 octobre 1933. Elle connaît une enfance et une jeunesse qu'elle décrit comme mornes puis tente de devenir professeur de dessin sans y réussir.

Cherchant sa voie, elle entre dans l'Ordre catholique des dominicains en 1959, où elle devient Sœur Luc-Gabriel au couvent de Fichermont à Waterloo. Très vite elle se fait apprécier des autres sœurs du couvent pour ses compositions musicales.

Sa hiérarchie décide de lui faire enregistrer un disque et négocie un contrat avec Philips. Ni son nom, ni son image n'apparaîtront sur les pochettes. Le pseudonyme Sœur Sourire, lui-même, dont elle dira plus tard qu'elle le trouvait ridicule, est choisi par un panel d'auditeurs test, il reste la propriété des contractants : son éditeur et son couvent. Les droits normalement dévolus à l'auteur-compositeur-chanteur reviennent au couvent. En vertu de ses vœux de pauvreté et d'obéissance, Jeanine signe.

Dominique est un succès mondial. La fraîcheur de sa voix, et de ses textes, la simplicité apparente de sa foi lui attirent la sympathie d'un public qui ne se limite pas aux catholiques.

« Dominique-nique-nique s'en allait tout simplement
Routier pauvre et chantant
En tous chemins en tous lieux il ne parl'que du Bon Dieu
Il ne parl'que du Bon Dieu. »

Son anonymat excite la curiosité de la presse et la rumeur lui prête une beauté proportionnelle à la pureté de son âme. En 1963, The Singing Nun est n°1 au Bilboard américain et, l'année suivante, Sœur Sourire passe au Ed Sullivan Show — ou, plus exactement, c'est Ed Sullivan lui-même et son équipe qui se déplacent au couvent de Fichermont. En 1966, un film américain, The Singing Nun est consacré à son histoire avec Debbie Reynolds dans le rôle-titre. L'actrice n'a que peu de ressemblance physique avec son modèle, dont le visage reste inconnu du plus grand nombre.

À cette époque, Jeanine Deckers reprend les études et essaie à grand peine (son journal en témoigne) de s'intéresser à la théologie en suivant des cours à l'Université catholique de Louvain. C'est peut-être cette parenthèse estudiantine qui l'amène à s'interroger sur le sens de sa vie. En juillet 1966, convaincue de son absence de vocation et considérant la vie au couvent comme anachronique, elle quitte les ordres sans le moindre viatique.

La postérité avait oublié assez vite la face B du célèbre 45 tours : Le pied du missionnaire, et encore plus les titres du disque suivant : Une fleur, cœur de Dieu.

Une seconde carrière 

Un contrat avec sa maison de disques lui interdit désormais d'utiliser le pseudonyme qui l'avait rendue célèbre. C'est sous le nom de Luc Dominique que Jeanine tente de poursuivre sa carrière avec des chansons comme La Pilule d'or en 1967 qui est une ode à la contraception. Elle écrit à cette époque des titres plutôt musclés par lesquels elle s'en prend aux mères, aux hommes (qu'elle juge violents et dominateurs), à l'Église catholique et au conservatisme (les con-conservateurs). Elle se passionne pour les nouvelles approches de la théologie (entre Vatican II et Mai 1968), cherche à inventer pour elle-même et pour sa compagne une nouvelle voie religieuse, qui se situe entre la vie régulière et la vie séculière. Elle refuse par ailleurs à l'époque de se considérer comme homosexuelle.

Le succès de ses disques est très modeste et donne raison à un de ses titres de l'époque, Je ne suis pas une vedette.

Dans la chanson Luc Dominique *, elle explique que sœur Sourire est morte :

« Je réclame de mes frères
Le droit d'évoluer.
De vivre solidaire,
Parmi eux, consacrée.
En short ou en tunique,
Blue jeans ou pyjama,
Je n'ajoute en critique,
Le Seigneur est mon choix.
[…]
Il est certain sourire
Qu'il faut démystifier,
Portrait un peu rapide,
Portrait inachevé.
Si cet autre visage
Étonne certaines gens,
Qu'ils vénèrent l'image
Du sourire d'enfant.
Elle est morte, Sœur sourire,
Elle est morte, il était temps !
J'ai vu voler son âme, À travers les nuages,
Dans le soleil couchant. »

Son niveau de vie est très irrégulier, mais suffisant, elle trouve ses revenus dans ses écrits, ses disques, des cours de guitare ou encore un travail auprès d'enfants autistes (notamment). Ses problèmes avec le fisc transformeront cette situation précaire en un drame complet. En 1976, elle tente un come-back aux États-Unis mais elle n'intéresse plus personne.

Un destin tragique

Les services fiscaux belges réclament alors à Jeanine Deckers les fortunes qu'aurait dû lui rapporter Sœur Sourire. Ils restent sourds à ses protestations de même que les autorités religieuses qu'elle appelle à son secours — son couvent et les œuvres auxquelles elle a laissés l'essentiel des revenus de ses premiers disques ne lui ont pas signé de reçu. Devant la situation de cette dette monstrueuse (et les intérêts accumulés), Jeanine et sa compagne, Annie Pécher, thérapeute d'enfants Autistes, sombrent dans une dépression que l'alcool et les médicaments ne font qu'aggraver. Elles finissent par se suicider ensemble le 29 mars 1985.






          
* Les tentatives d'enregistrer la musique sous le nom de Luc Dominique
ont produit peu de revenu car le monde n'a pas identifié l'artiste sous
ce nouveau nom.





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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:05



 Un SDF retrouvé mort sous un pont
 

Le corps sans vie d'un SDF de 46 ans a été découvert hier, en milieu de journée, à Strasbourg, en contrebas du quai du Maire-Dietrich, sous le pont d'Auvergne.

Hubert Reger y avait élu domicile depuis quelques jours.

« Avant, il était installé en face, sous le porche de l'église Saint-Paul, je le connais depuis que je suis bénévole à Médecins du monde. J'ai commencé en janvier 2004.
On le voyait pendant les maraudes de nuit », avance Rosa, qui, passant par hasard dans le quartier  et voyant pompiers et policiers, s'est approchée du bord de l'Ill et a appris la nouvelle.

« Un copain en moins ! », rage un vieil ami de la victime, tandis qu'une troupe de touristes à lunettes de soleil défilant à bord d'un bateau-mouche ignore complètement l'église et n'a d'yeux que pour les policiers constatant le décès.

Hubert Reger a été découvert sans vie par un autre ami qui était venu le voir vers 12 h 30.
« Au début, on croyait qu'il dormait, puis j'ai soulevé la couverture, tâté son poignet, et j'ai vu qu'il était mort. J'ai appelé les pompiers. »
Selon les premières investigations, il s'agit d'une mort naturelle. D'après ses proches, la victime était gravement malade.

(Dernières Nouvelles d'Alsace 15.04.2007)
 





Bonsoir,

Vous nous aviez fait parvenir une photo
d'Hubert et Alain sur
les marches du porche de l'église St Paul.

Nous avons eu l'information concernant l'inhumation d'Hubert. Elle est fixée au jeudi 3 mai 2007.

Le pasteur de la paroisse de St Paul a proposé qu'un temps de recueillement soit organisé en l'église St Paul, à 14 h.

L'inhumation aura ensuite lieu au cimetière de la Robertsau. Nous proposons, à tous ceux qui le peuvent, de nous retrouver
à St Paul pour 14 h.

Cordialement,

C. F. (Médecins du Monde)


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12 février 2007 1 12 /02 /février /2007 00:54
 

ginart-wanado-copyright.jpg

  

 



Le lundi
C’est angoissant


Le mardi
C’est affolant

Le mercredi
c’est  prenant

Le jeudi
ça devient relaxant

Le vendredi,
c’est carrément excitant

Le samedi
c’est tellement réjouissant

Le  dimanche,
c’est tout simplement reposant.
Et le Lundi matin
c’est alarmant de recommencer
encore une semaine comme la  précédente.
 
Alors qui a créé
 un Lundi très angoissant,
un Mardi très affolant,
 un Mercredi très prenant,
un Jeudi relaxant,
 un Vendredi carrément excitant,
Et pourquoi ne pas avoir tout simplement
inventé une semaine  faite que de « Week-end ».
 
Et pourquoi, mais pourquoi,
une semaine de 7 jours ?
 
    
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