28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 14:02

 

 

 

 


 

les mots de tous les jours

ne portent ni veston ni cravate

ils dépeignent le quotidien

ils parlent de sentiments

de caresses et d'affection

ils tapent sur l'épaule

du copain
qui est dans le pétrin

qui a besoin de compréhension

ils lui disent
les mots qu'il faut 

et ils versent avec
compassion du baume

sur les plaies
qui marquent sa peau

................

sans se prendre pour des acrobates

les mots sourient aussi à la vie

ils leur arrivent
de faire les bouffons

de marcher les pattes en l'air

ils s'esclaffent et rigolent

ils racontent des blagues

souvent même assez polissonnes

s'expriment
sans faire de détours

sur le sexe et la drague

ils s'amusent à jouer
des tours sans prendre les choses trop au sérieux

...........

mais les mots comme va le vent vite changent
de direction

virent de tribord à bâbord

deviennent tantôt tristes

avec des accents mélancoliques tantôt ils sont remplis d'angoisse

affichent des visages affligés

parfois avec gêne
ils bafouillent

ne savent plus trop quoi dire

alors tout piteux
ils se taisent leurs silences éloquents en disent long

---------

  

à d'autres moments
leur ton est lyrique

ils s'enfilent comme
des perles

et s'alignent
pour former des vers

qui disent avec plus de douceur l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut

ils prononcent tout bas les déclarations de l'amoureux transi à sa bien-aimée

et quand ils deviennent muets

ce n'est pas parce qu'ils bougonnent

c'est qu'ils n'ont plus rien à dire et que dans le dictionnaire ils dorment

 

 

Auteur inconnu

 

 

 

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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 18:00

 

 

 

 

 


                Deux vieillards marchent dans la rue
                Tous leurs amis sont maintenant disparus
                Aujourd’hui un autre a été enterré
                Et ils se demandent qui sera le dernier .

                Assis à une table ils se content leurs souvenirs
                Sans se soucier du dernier qui va mourir.

                Ils savent très bien que le compte à rebours s’achève
                Mais ils sont déjà si loin dans leurs rêves
                Perdu dans un coin merveilleux de leur vie
                En pensant à leurs femmes ou à leurs amis.

                Et puis des larmes naissent dans leurs yeux
                Est-ce parce qu’ils sont heureux, ou vieux
                 Un vieil homme marche seul dans la rue
                Tous ses amis sont maintenant disparus.

                Car aujourd’hui il a enterré le dernier
                Mais il sait très bien qui est le dernier
                Comme ça doit être triste d’être le dernier à mourir
                Sans plus personne pour se rappeler des souvenirs
                Sans plus personne pour se faire consoler.
               
                Comme il doit avoir envie de se tuer
                Un vieil homme est assis et attend la mort
                Il endure toutes les souffrances de son corps
                En pensant à ses amis qui ont retrouvé leur jeunesse
                En pensant à sa solitude et à sa détresse.
                
                Tout à coup il a peur d’être devenu immortel
                Il aimerait bien être déjà rendu au ciel
                Auprès de sa femme et de ses amis
                Car le vieil homme voit en eux le paradis

 

09/03/2007       

 

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 07:33

Anne Vanderlove, de son vrai nom Anne Van der Leeuw est une auteur-compositeur-interprète française d'origine néerlandaise, née le 11 décembre 1939 à Scheveningen, La Haye. Elle commence sa carrière en 1965 en se produisant Chez Georges, un cabaret de la rue des Canettes, à Saint-Germain des Prés. Elle acquiert la célébrité en 1967 avec la chanson Ballade en novembre, qui lui vaut un Grand prix du disque et enregistre l'album homonyme la même année.

 

 

 

 

Qu'on me laisse à mes souvenirs,
Qu'on me laisse à mes amours mortes,
Il est temps de fermer la porte,
Il se fait temps d'aller dormir
Je n'étais pas toujours bien mise
J'avais les cheveux dans les yeux
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois bien qu'il m'aimait un peu


Il pleut
Sur le jardin, sur le rivage
Et si j'ai de l'eau dans les yeux
C'est qu'il me pleut
Sur le visage.

 

 

Le vent du Nord qui s'amoncelle
S'amuse seul dans mes cheveux
Je n'étais pas toujours bien belle,
Mais je crois qu'il m'aimait un peu
Ma robe a toujours ses reprises
Et j'ai toujours les cheveux fous
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois que je l'aimais beaucoup

Si j'ai fondu tant de chandelles
Depuis le temps qu'on ne s'est vus
Et si je lui reste fidèle,
A quoi me sert tant de vertu ?
Qu'on me laisse à mes amours mortes !
Qu'on me laisse à mes souvenirs
Mais avant de fermer la porte,
Qu'on me laisse le temps d'en rire
Le temps d'essayer d'en sourire...

Qu'on me laisse le temps d'en rire 

 1967

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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 17:15

 

 

 

swxwxwxwwxs

 

 

Mots au quotidien.

les mots de tous les jours
ne portent ni veston ni cravate
ils dépeignent le quotidien
ils parlent de sentiments
de caresses et d'affection
ils tapent sur l'épaule
du copain qui est dans le pétrin
qui a besoin de compréhension
ils lui disent les mots qu'il faut
et ils versent avec compassion du baume
sur les plaies qui marquent sa peau

sans se prendre pour des acrobates
les mots sourient aussi à la vie
ils leur arrivent de faire les bouffons
de marcher les pattes en l'air
ils s'esclaffent et rigolent
ils racontent des blagues
souvent même assez polissonnes
s'expriment sans faire de détours
sur le sexe et la drague
ils s'amusent à jouer des tours
sans prendre les choses trop au sérieux

mais les mots comme va le vent
vite changent de direction
virent de tribord à bâbord
deviennent tantôt tristes
avec des accents mélancoliques
tantôt ils sont remplis d'angoisse
affichent des visages affligés
parfois avec gêne ils bafouillent
ne savent plus trop quoi dire
alors tout piteux ils se taisent
leurs silences éloquents en disent long

à d'autres moments leur ton est lyrique
ils s'enfilent comme des perles
et s'alignent pour former des vers
qui disent avec plus de douceur
l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut
ils prononcent tout bas les déclarations
de l'amoureux transi à sa bien-aimée
et quand ils deviennent muets
ce n'est pas parce qu'ils bougonnent
c'est qu'ils n'ont plus rien à dire
et que dans le dictionnaire ils dorment
errour404
Auteur inconnu

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 18:04

   
Les compléments nutritionnels alimentent un fantasme. Il est vieux. Il est bien français. Et il persiste à conditionner notre bien-être à l’absorption d’une somme croissante de pastilles et d’ampoules.

C’est comme si le pays était peuplé d’anti-Obélix. Faute d’être tombés tout petits dans une potion magique, ils passent leur vie à en chercher la formule. Quitte à mélanger parfois les ingrédients en dépit du bon sens. Et, paradoxe absolu, à se retrouver à l’hôpital.

Ce syndrome gaulois ne nuit pas à tout le monde. Il fait la bonne santé financière de pourvoyeurs des mixtures les plus improbables. Ces industriels de la santé en flacons auraient tort de se priver. Dans l’imaginaire collectif, chaque fatigue, irritabilité, perte de cheveux ou surpoids a son antidote sous forme de comprimés. Pour les préparateurs de pilules contre les soucis, le marché est tentant. Leurs vitamines à eux, c’est notre aspiration à aller mieux, avec le moins d’efforts possible.

Voilà le problème : on dort mal, on mange trop, on stresse à longueur de journée, on s’épuise à vouloir ressembler à des clichés publicitaires… et on ne change rien à nos comportements. Plutôt que d’assainir sa nourriture, plutôt que de répondre aux prescriptions d’activité physique et d’hygiène de vie, plutôt que de ralentir, on dépose des euros sur un comptoir en échange de bonbons aux effets parfois tragiques. On joue à une roulette moléculaire dans l’espoir qu’une gélule dans le lot marchera.

Ce comportement ressemble à celui d’un convive au restaurant qui commanderait tout le menu au prétexte que l’un au moins des plats lui sera bénéfique. Sans même parler de l’addition, est-ce vraiment raisonnable ?

Face aux allégations et promesses des nutriments, en fait rarement nécessaires, la réponse n’est plus de céder à toutes les tentations. Mais bel et bien d’exercer des choix. À commencer par celui d’être un peu moins consommateur et un peu plus acteur de sa propre santé.

 

Didier Rose
L’éditorial


 

  Je pense donc je lis les DNA 

 

 

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 18:56

 

Richard Noel Marx (né le 16 septembre 1963 à Chicago, Illinois) est un auteur-compositeur-interprète et un producteur de musique américain. Pendant les années 1980 et 1990, Marx a sorti plusieurs tubes, y compris Right here waiting,

Marx a commencé sa carrière comme musicien à l'âge de 5 ans, en chantant des petites chansons écrites par son père, Dick, pour des spots publicitaires du beurre de cacahuètes de Peter Pan et de Nestlé Crunch. Marx avait 17 ans et habitait dans une banlieue de Chicago quand une bande de ses chansons était découverte par Lionel Richie. 

 

 

Right Here Waiting
(Je Serai Juste Ici A T'attendre)

 Oceans apart, day after day
Des océans nous séparent, jour après jour
And I slowly go insane
Et je deviens fou petit à petit
I hear your voice, on the line
J'entends ta voix, au bout du fil
But it doesn't stop the pain
Mais cela ne guérit pas ma douleur
If I see you next to never
Si je ne te vois presque jamais
How can we say forever ?
Comment peut-on dire pour toujours ?

 

 


Wherever you go, whatever you do,
Peu importe où tu vas, peu importe ce que tu fais
I will be right here waiting for you
Je serai juste ici à t'attendre
Whatever it takes, or how my heart breaks
Peu importe ce que cela nécessitera,
Ou comment mon coeur se brisera
I will be right here waiting for you.
Je serai juste ici à t'attendre
I took for granted, all the times
J'ai pris pour acquis, toutes les fois
That I thought would last somehow
Où j'ai cru d'une façon ou d'une autre, que ça durerait
I hear the laughter, I taste the tears
J'entends les rires, je goûte les larmes
But I can't get near you now
Mais je ne peux m'approcher de toi maintenant
Oh can't you see it baby
Oh, ne vois-tu pas bébé
You've got me going crazy
Tu me rends complètement fou
 

1989 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 11:00

 

 

 

 

 

 
 
 

  Ce fut admirable de découvrir l'Amérique, mais il l'eût été plus encore de passer à côté.
   

 Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c'est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n'aimez pas faire.

   
 Nous sommes profondément blessés quand on ne nous respecte pas ; pourtant, au fond de son coeur, aucun homme ne se respecte beaucoup lui-même.
   

Le travail, c'est tout ce que l'on est obligé de faire ; le jeu, c'est tout ce qu'on fait sans y être obligé.

   
Ne perds pas ton temps à  répéter que le monde te doit quelque chose. Le monde ne te doit rien. Il était là  avant toi.
 
 

Ceux qui sont pour la liberté sans agitation sont des gens qui veulent la pluie sans orage.

 
   

Les animaux supérieurs ne sont jamais atteints de cette maladie qu'on appelle le sens moral.

   

 Mettez tous vos oeufs dans le même panier... et ne le perdez pas de vue !

 

De bons amis, de bons livres et la conscience somnolente, voilà  le secret du bonheur.

 
 

Tout ce que vous avez besoin pour réussir dans la vie est l'ignorance et la confiance.

 
   

Si l'on pouvait croiser l'homme et le chat, ca améliorerait l'homme, mais ça dégraderait le chat.

 
   Pourquoi dépenser de l'argent pour faire établir votre arbre généalogique ? Faites de la politique et vos adversaires s'en chargeront.
 
   

Quant aux adjectifs : dans le doute, biffez-les.

 
   
Avec un bon compliment, je peux vivre deux mois.
   

Une bonne éducation consiste à  concilier le grand bien que vous pensez de vous-même, avec le peu de bien que vous pensez des autres.

   

 C'est beau d'être vertueux, mais apprendre aux autres à  l'être, c'est encore plus beau ... et tellement plus facile.

   

La bonne éducation consiste à  cacher tout le bien que nous pensons de nous-mêmes et le peu de bien que nous pensons des autres. 

 
 
 

Tout est dans l'éducation. La pêche était autrefois une amande amère : le choux-fleur n'est qu'un chou qui est allé à  l'université.

 

 

   

Mark Twain, de son vrai nom Samuel Langhorne Clemens, né le 30 novembre 1835 à Florida,  dans le Missouri mort le 21 avril 1910 à Redding, Connecticut (États-Unis), est un écrivain, essayiste et humoriste américain.
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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 07:00

 

 

 

 

 

 



Au sommet des montagnes
Où renait le printemps
Au sommet des montagnes
Il est là, il t'attend

Ses bras son grands ouverts
Inondés de lumière
Il s'avance vers toi
Pour te donner sa joie.

Redis-lui que tes rêves
Ne sont pas terminés ;
Dès que la nuit s'achève
Tout peut recommencer

Au sommet des montagnes
Les roseaux sont en fleurs
Au sommet des montagnes
Il est là dans ton coeur.

Ses bras sont grands ouverts
Pour accueillir les pauvres.
Il te livre un secret
pour te donner sa paix

Reduis-lui que tu l'aimes
Redis-lui chaque jour
Que ta vie soit poème
un poème d'amour.

 

2007

   

  Georges Hamel
 1948 - 2014

 

 

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22 septembre 2014 1 22 /09 /septembre /2014 07:00

 

 

 

1.
 Je suis le début
de l'éternité,

La fin de l'espace,
La naissance de chaque espèce,
La mort de toute race.

 

  2.

 

J'ai des rues sans chaussées,
Des villes sans immeubles,
Des forêts sans arbres,
Des rivières sans eau.

 


3.

Je pique mais je n'ai pas d'épines,
J'ai une queue que je traîne,
Et dont je laisse des parcelles,
Dans chaque trou que je traverse.
 

 

 

4.

Parfois je suis fort,
Parfois je suis faible.
Je parle toutes les langues
Sans jamais les avoir apprises.

 

5.

Dès que vous me connaissez,

vous voulez me partager.
Mais dès lors, je ne suis plus...


 

 

6.

Pour me respecter
il faut me donner.
Pour me donner
il faut m'avoir.

 

 

as-tu trouvé ?


  
Essaye un peu plus fort
avant de regarder

les réponses.    


     

 
  1) La lettre « E ».
  2) La carte géographique.
  3) L'aiguille.
  4) L'écho.
  5) Le secret.
  6)  La parole.

 

 

 

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 07:00

 

 

 

 

 

 

 

C'était pourtant une souris ordinaire, une souris grise  souris, avec un petit museau pointu et une petite moustache; mais rien ne lui plaisait dans la vie. D'abord, elle n'aimait pas sa couleur. Un jour elle voulait être rousse, et elle rouspétait ; le lendemain elle préférait marron, et elle maronnait. Elle se trouvait petite. On l'appelait mini-souris ; mais elle avait beau se pendre par les pieds, elle ne gagnait pas un millimètre ; et ça, elle ne pouvait l'admettre.

  Son poil non plus ne lui convenait pas ; elle le trouvait trop ras. Elle ressemblait à ses cousins, les rats, et ça la chagrinait. Elle vivait dans un trou qui était si étroit qu'elle avait plus de place quand elle achetait trois grains ; ça la rendait grincheuse. Bref, jour et nuit, notre souris ronchonnait sans répit.

  Tu n'es pas très gentille, lui disait-on, peut-être es-tu malade ? Ou trop maigre ?

  C'est vrai ça, on parle toujours des " bons gros " mais jamais des " bons maigres "; tu devrais y songer.

  Elle y songea… Manger, manger, elle ne pensa plus qu'à se gonfler la panse . Elle s'enferma chez elle avec des provisions et se mit à la tâche:

 

Menu :
Lundi : pâté, patates et pâtes ; Mardi : pâtes, pâté et patates ; Mercredi : patates, pâtes et pâté ; Jeudi : pâté, pâtes et patates ; Vendredi : pâtes, patates et pâté ; Samedi : patates, pâté et pâtes ; et le dimanche un grand verre d'eau.

 
 Une semaine passa. Sans résultat. Malgré un tel menu, elle restait trop menue. Elle supprima le verre d'eau. Après plus de deux mois de ce régime " bourri-bourra ", notre souris glouton finit pourtant par s'empâter de partout et devint ronde comme un ballon. Même les pattes semblaient parties, cachées par son gros ventre. Il n'y avait plus que les oreilles qui dépassaient, et encore, pas tout, juste un petit bout.

  Mais quand elle se trouva coincée dans son trou sans pouvoir en sortir, elle fut à nouveau de très mauvaise humeur, Et elle jeuna le plus vite possible.

  A sa première sortie, elle rencontra deux souris voisines. Une blanche, une verte. La blanche travaillait à l'hôpital et elle était très pâle. La verte courait dans l'herbe, mais quelqu'un qui passait par là l'attrapa par la queue, la trempa dans l'huile, dans l'eau, et elle se transforma en un escargot tout chaud. Quel sort pour une souris de finir en escargot ! Notre souris grise aurait pu se dire qu'être couleur muraille, ce n'était pas si mal que ça ; mais non, elle ne se le dit même pas.

 Le soir, il y avait un bal. Pour se faire belle et se grandir un peu, notre mini-souris mit ses souliers vernis avec des talons hauts. Puis elle entra.

   Musique.... Drame , c'était un cha cha cha !

 Elle voulut s'échapper, mais elle glissa par terre et tomba sur les dents. Et crac, plus de dents !

 Mais c'est triste une souris sans dents, qui ne grignote ni ne sourit. Il lui fallait d'urgence une dent de remplacement. Elle fit alors le vœu que si elle en trouvait une, elle deviendrait une crème de souris et le demeurerait pour le reste de la vie.

 Et c'est depuis ce temps-là que les enfants glissent sous leur oreiller leur première dent de lait. C'est pour aider les petites souris à devenir plus sages…

 

Texte de: Nicolas-Jean Brébon


 

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Texte Libre

 

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