Pour un paresseux, le jour de travail est toujours demain aujourd'hui est son jour de repos... ! |
Pour un paresseux, le jour de travail est toujours demain aujourd'hui est son jour de repos... ! |
Un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. | Les rieurs avec moi, et les pas rieurs au tiercé. | |
Je ne suis pas beau Je ne suis pas intelligent Je ne suis pas riche mais je suis libre de suite. | ||
Dorénavant ce sera comme d'habitude | Celui qui marche sur les pas d'un autre ne laisse pas de traces. | |
Plombier arrêté pour délit de fuite. | ||
Les hommes de l'âge de la bière vivent dans les tavernes. | Jeune abeille cherche bourdon pour lune de miel. | |
Les visites font toujours plaisir ; si ce n'est en arrivant, c'est en partant. | ||
Sortir en boîte ça conserve. | Chérie j'ai trouvé du boulot, tu commences demain ! | |
Quand deux nuages se rencontrent c'est le coup de foudre. | ||
Le détecteur de mensonge existe... je l'ai épousé. | Il n'y a pas que l'argent dans la vie... il y a aussi les chèques et les cartes de crédit. | |
OCCASION : Parachute servi une fois jamais ouvert !!! | ||
Moi, je m'appelle Dimitri, et toi ? Moi ? Non ! | Si les tôles ondulées, les vaches aussi. | |
Si j'étais une femme je ne pourrais aimer qu'un homme comme moi. | ||
Le temps est pluvieux, lui aussi prend de l'âge ! | Comment voulez-vous qu'il tienne sa parole alors qu'il l'a donnée ? | |
Un menuisier a déposé plinthe au parquet. | ||
Géographie : Everest mais Adam part | Aujourd'hui c'est déjà le demain de hier | |
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J‘ai vu le soleil déprimer,
Et la lune rire de joie
J’ai vu les étoiles danser,
Sur leur écrin de soie
J’ai vu le ciel se fâcher,
Et les nuages s’enfuir
J’ai vu le vent souffler
Sur les voiles des navires
J’ai vu des oiseaux chanter
Et des fleurs se flétrir
J’ai vu la mer se marier
À des sirènes au doux sourire
J’ai vu des tempêtes hurler
Et déchiqueter des rochers
J’ai vu des orages
Et des bateaux faire naufrage
J’ai vu naître des enfants
Et mourir des vieillards
J’ai vu pleurer des géants
Et s’assombrir bien des regards
Je suis si lasse parfois
D’avoir vu autant de choses
Que même si je n’en ai pas le droit
J’aimerais faire une pause
Et m’endormir sans bruit
.
Mais mon temps est précieux
Alors pour moi aucun répit
Je suis le souffle de Dieu
Vous l’avez compris
JE SUIS LA VIE
Vous avez soin de vos villes, vous voulez être en sûreté dans vos demeures, vous êtes préoccupés de ce péril, laisser la rue obscure ; songez à ce péril plus grand encore, laisser obscur l’esprit humain. Les intelligences sont des routes ouvertes ; elles ont des allants et venants, elles ont des visiteurs, bien ou mal intentionnés, elles peuvent avoir des passants funestes ; une mauvaise pensée est identique à un voleur de nuit, l’âme a des malfaiteurs ; faites le jour partout ; ne laissez pas dans l’intelligence humaine de ces coins ténébreux où peut se blottir la superstition, où peut se cacher l’erreur, où peut s’embusquer le mensonge. L’ignorance est un crépuscule ; le mal y rôde. Songez à l’éclairage des rues, soit ; mais songez aussi, songez surtout, à l’éclairage des esprits. Victor Hugo le 7 juin 1878 |
Des lunettes
Un élastique
Un pansement
Un crayon
Du fil
De la gomme
Un bisou en chocolat
Un sachet de thé
Vous vous demandez certainement à quoi serviront tous ces ingrédients ! Peut être que pour le monde tu es juste "Quelqu'un" ?, mais certainement que tu es "Le Monde" pour quelqu'un. |
Non sans en remettre une couche, une chaîne de magasins renonce aux super-promos sur le Nutella. C’est tout bénéfice pour l’enseigne. Le coup du rabais affolant les foules est prolongé par la promesse de continuer autrement le combat de la vie moins chère. La technique n’est pas sans rappeler celle d’une compagnie aérienne low-cost. Elle adore les rumeurs sur ses passagers voyageant debout ou sur des toilettes payantes à bord. Au moment du nécessaire démenti, l’essentiel est acquis : plus personne ne doute de sa détermination à étudier toutes les pistes pour baisser les tarifs. Cette « image-prix » obnubile les distributeurs. Ils se battent pour la soigner tout comme des clients appâtés par du Nutella. Peu importent les armes dans cette guerre : crème noisette, couches bébé ou télés. Il faut pour les hypermarchés aux abois tartiner, et retartiner, qu’ils sont les meilleurs amis du pouvoir d’achat. Ce que révèlent des émeutes en tête de gondole n’est pas qu’une aspiration à consommer ou un clivage social grandissant. Le message subliminal est que le commerce de masse fait plus pour le niveau de vie que les discours politiques sur la croissance économique. Voilà pourquoi l’affaire du Nutella est gênante pour le gouvernement. Des bousculades dignes du Venezuela contredisent dans le monde la parole de Macron sur la start-up France. Pire, de telles scènes occultent le travail de l’État pour juguler les méthodes de transfert de marges : pendant la super-réduction, la machine à cash tourne dans les autres rayons ! Et les paysans, comme les petits patrons, mettent la clé sous le paillasson. Cher payé pour quelques pots de graisse et de sucre. La promo fracassante ne doit pas masquer un terrible déséquilibre dans l’alimentaire. Économique, celui-là. Dans la lutte entre production et distribution, il n’y a plus qu’un arbitre, l’État. Et une seule recette : la loi. |
Didier Rose
L’éditorial
Couper les mots de colère,
garder ceux qui sont adoucissants,
équilibrants et apaisants,
Brosser, peler et laver égoïsme,
Hâcher les conflits et la froideur,
Enlever la peau de la contrariété
et celle des ressentiments avant cuisson,
Rejeter le mauvais, annuler le négatif,
Combiner le respect et la courtoisie,
Ajouter une très grosse canne d'affections,
Une bouteille pleine de délicatesses,
Mesurer un gros contenant plein de bon sens,
Mettre le bouillon de la politesse
bien dégraissé de l'inattention,
Un cube d'accessibilité,
Mêler la bonne attitude, la vitalité, l'enthousiasme,
Mettre un bouquet garni de paroles aimables,
Parsemer de poudre de disponibilité,
Saupoudrer de beaucoup, beaucoup d'amour,
accompagné d'une voix douce,
Ne pas mettre trop de reproches, attention,
ça gâterait le tout,
L'ajout de la cordialité donne un très bon petit goût,
On peut varier avec la convivialité,
Certains préfèrent avec un soupçon d'étreintes,
Remuer délicatement,
Épaissir pour lui donner la texture veloutée de la tendresse,
Incorporer petit à petit l'humour,
Encore meilleure si on a préalablement prévu la bienveillance.
À feu doux, et porter à ébullition l'émerveillement,
Réduire le feu des arrières-pensées,
Laisser mijoter le don de soi et les p'tits bonheurs,
Poursuivre la cuisson dans une ambiance
sereine et chaleureuse.
Un parfum agréable de compréhension se propagera
dans toute la maisonnée.
varier les saveurs
. Et sortez votre plus belle soupière !
Une soupe exquise, saine, équilibrée, bonne à se délecter,
chaude et très réconfortante.
Une recette appétissante,
nourrissante et adaptable à toute la famille.
On peut l'accompagner de biscuits de gestes sympathiques
ou de croûtons de finesses, et d'un filet de bon accueil.
Déguster le plaisir de vous sentir rassasié.
Très bon choix lorsqu'on reçoit de la visite pour souper.
Si tu peux commencer ta journée sans caféine, |
En automne, la vigne vierge rougit
face aux arbres qui se dénudent.
Sylvain Tesson
Pourquoi le temps s'écoule-t-il à sens unique ? L'homme ne peut aller que dans une seule direction, de la jeunesse vers la vieillesse, de la naissance vers la mort, de la fraîcheur vers la décrépitude, de l'aube vers le crépuscule. Les cerisiers dépérissent en automne et refleurissent au printemps, dans un éternel recommencement que nous ne connaîtrons pas. |
Aude Le Corff